Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Un nouvel aéroport à Londres ?
Publié le 2 septembre 2012 à 17h00 par Joël Ricci
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Postanote a commenté :
3 septembre 2012 - 10 h 33 min
En plus clair: la GB donne des leçons de rigueur budgétaire aux autres et fait tourner la planche à billets pour relancer l’emploi chez elle. Faites ce que je dis, surtout pas ce que je fais. D’autant plus que chacun sait que cet aéroport n’est pas utile si on déroute le trafic en correspondance vers les autres aéroports du Royaume-Uni, dont beaucoup sont loin de la saturation.
Même syndrome qu’en France, dont la finalité est avant tout de la spéculation foncière…
Gilles a commenté :
3 septembre 2012 - 16 h 35 min
Bonjour
Une autre solution avant de construire une troisième piste à Londres Heathrow ou un nouvel aéroport, serait de réduire drastiquement le nombre de fréquences par lignes et par compagnies aériennes et mettre des plus gros avions, y compris sur le court et moyen-courrier, cela aurait l’avantage de diminuer le trafic aérien tout en maintenant un trafic passager important.
Mais bon tant que les compagnies aériennes continuent à s’aveugler sur la « navettisation » du transport aérien les choses ne vont pas s’arranger. La « navettisation » se caractérise par des lignes aériennes opérées avec des avions toujours plus petits afin d’avoir un maximum de fréquences possible. Pour cela on utilise des avions régionaux et monocouloirs sur les court-courriers et gros porteurs point à point (B767, A330, A340, B777) sur les longs courriers pour des lignes hubs à hubs là où l’on faisait ces dernières en B747.
La « navettisation » a pour objectif de faire des préacheminements intensifs, pourtant nombre d’entre eux sont inutiles. C’est un concept que l’on a trop tendance à considérer comme étant la solution miracle soi-disant pour des questions de rentabilités à court terme, avec des raisonnements de boutiquiers, mais qui risque d’aller droit dans le mur. L’une des conséquences de cette « navettisation » est une paralysie totale du transport aérien car ceux qui l’organisent pensent trop à court terme, c’est une véritable fuite en avant.
Pour exemple United Airlines assure sa liaison Londres-Heathrow – New York-Newark 5 vols par jour, je me dis OK, c’est normal c’est une ligne très empruntée, sauf que 4 rotations sur 5 sont opérées avec des Boeing 757 de 110 sièges, et 1 rotation en Boeing 777-200 de 266 sièges, pour la même capacité en sièges 2 Boeing 747-400 seraient largement suffisants. Cet exemple est loin d’être isolé, la majorité des compagnies aériennes européennes et nord-américaines procèdent ainsi, à commencer par British Airways, et on s’étonne encore pourquoi Londres Heathrow est saturé ?
Il est temps de cesser de croire que la « navettisation » du transport aérien soit la solution miracle pour répondre à l’accroissement du trafic aérien. L’espace aérien est tout sauf infini. Il faut réintroduire davantage de gros porteurs (B747-8 ou A380) sur les hubs à hubs, et les point à point sur les gros porteurs correspondants à cette fonction (B767, B787, A330, A340, B777), y compris sur les lignes sur les courts courriers, enfin les avions régionaux et monocouloirs devraient être opérées sur des lignes à capacités passagères inférieures à 100 000 voyageurs annuels. Toutes ces mesures permettraient de réduire drastiquement le nombre de fréquences dont beaucoup sont inutiles afin de fluidifier le trafic aérien, à commencer par Londres-Heathrow. Mais d’autres aéroports européens et nord-américains risquent de se trouver dans cette même impasse si rien n’est pris au plus haut niveau. Il faut que les pouvoirs publics et les grandes instances du transport aérien au niveau international, imposent ces mesures afin d’éviter une paralysie totale des aéroports et des couloirs aériens, sinon on va droit dans le mur.
Cordialement
Aie Pepito a commenté :
4 septembre 2012 - 8 h 46 min
Bien d’accord avec votre commentaire sur la navettisation, il m’est arrive plusieurs fois de constater sur certaines lignes vers CDG (Francfort, Prague par exemple) des avions a moitie vides, la encore dans une logique de navettisation. Un cout économique et environnemental important pour un avantage commercial finalement très discutable. Les hommes d’affaires savent attendre s’ils n’ont pas le choix (rappelons nous les annulations de vol liées au volcan islandais) et si on sait leur proposer plus de confort a l’aéroport. Il me semble que les lounges ont été créées pour cela… Donc oui, il est temps de remettre en cause ce modèle tres discutable. Quant a un éventuel nouvel aéroport a Londres, c’est insensé. La capitale britannique compte déjà 5 aéroports internationaux (Hearhrow, Gatwick, City, Luton, Stansted) et j’en oublie peut-être un autre, a part City et LHR tous les autres peuvent se développer. Gatwick et Stansted sont déjà a moins de 30 mn du centre en train donc pourquoi ne pas les développer. L’un serait considere comme un aéroport de point a point et l’autre low cost, et alors ? On peut repenser leur mission et leur stratégie. Bref, d’accord avec Postanote, il y a des intérêts fonciers derrière tout cela!