José Luis Inciarte, l’un des 16 rescapés du fameux crash du 13 octobre 1972 dans les Andes, a décidé de venir porter un soutien psychologique aux 33 mineurs chiliens bloqués pour plusieurs mois dans une mine du Chili. Souhaitons que la venue sur place de José Luis Inciarte apportera du réconfort psychologique aux 33 hommes bloqués dans une mine du Chili ainsi qu’à leur famille. En tous les cas, il est la preuve vivante que l’être humain est capable de résister aux pires conditions du moment qu’il conserve confiance en lui et en ses possibilités de survie. Le 13 octobre 1972, un avion uruguayen s’écrase avec 45 passagers (dont une équipe de rugby) dans les montagnes du Chili. 12 décèdent sur le coup. Les survivants doivent alors affronter des températures inférieures à -30 °C la nuit, à 4000 m d’altitude. Ils perdront un moment espoir quand ils entendent à la radio que les recherches sont finalement abandonnées. La faim les tenaillant et à court de vivres, ils se résignent pour survivre à faire acte de cannibalisme en mangeant la chair de passagers déjà morts. Sous des températures glaciales, des hommes meurent peu à peu, et plutôt que de se regarder mourir, deux volontaires descendent les montagnes hostiles pour tenter de chercher de l’aide. Le 22 décembre 1972, épuisés par 72 jours d’isolement et de conditions extrêmes, ils arrivent enfin à leur but. 16 hommes sur 45 ont survécu.