Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Publié le 26 août 2010 à 10h00 par François Duclos
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Laurent a commenté :
26 août 2010 - 11 h 40 min
La dernière fois que j’ai connu ce genre de mésaventure c’était à Birmingham. Une fois monté dans l’avion, un voyant resté allumé dans le cockpit, indiquant aux pilotes que la soute à bagages était ouverte (sauf qu’elle était bien « closed »). Procédure habituelle dans ces situations : l’équipage nous informe du problème, nous fait débarquer et nous redirige en salle d’embarquement ou nous attendons 15 mn. Puis finalement nous rembarquons pour décoller avec seulement 35 mn de retard sans avoir dû attendre dans l’avion. C’était juste les bagagistes qui lors du déchargement des bagages avaient sectionné un câble et donc le voyant dans le cockpit indiqué un dysfonctionnement. Même si nous n’avons pas eu plus de 35 mn de retard, nous n’avons pas attendu dans l’avion (comme si nous avions eu 1, 2, 3 ou 4h d’attente). Mais j’oublie de dire : c’était sur un Vol Birmingham/Lyon avec Air France ! De plus à l’arrivée à Lyon j’ai loupé ma correspondance pour Barcelone mais Air France m’a re-protégé sur le vol du lendemain matin et offert repas et nuit à l’hôtel juste en face de l’aérogare (c’est la moindre des choses, non ?). Je pense pas que Ryanair use ce genre de service pour ses passagers. De plus, garder les passagers à bord revient moins cher, car s’ils doivent les débarquer pour ensuite rembarquer, l’aéroport facture tous les services au sol ! Avec Ryanair on ne gaspille pas 0,01€ pour un passager ! Juste compte les actionnaires et surtout l’enrichissement personnel de Michael O’Leary, l’une des plus grosse fortune d’Europe (Slogan : plus le peuple d’en bas vole plus O’Leary fait décoller sa fortune). Je sais c’est facile……
Michel a commenté :
26 août 2010 - 20 h 40 min
On n’est pas retenu de force dans un avion de Ryanair.
En tout cas, personnellement, il m’est arrivé de descendre d’un avion de Ryanair avec l’accord de l’hôtesse (la porte avant n’ayant pas encore été fermée) – c’était à Dublin, le dégivrage n’en finissait pas de ne pas arriver et j’allais de tout façon rater mon vol suivant …
Dans ce cas-ci, le commandant de bord espérait sans doute pouvoir décoller plus rapidement, et des incidents successifs l’en ont empêché.