Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Catane fermé par l’Etna, Genève dans le brouillard
Publié le 17 décembre 2013 à 07h30 par François Duclos
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Cémencle a commenté :
17 décembre 2013 - 12 h 05 min
Autant j’admets pour l’Etna, car aucun PNT n’a le choix, autant les minimas pour cause de brouillard m’agacent au plus haut point.
A l’AEROPOSTALE, qui se souciait des minimas ? Au contraire, l’on se posait avec une régularité à faire pâlir d’envie n’importe quelle low coast, peu importe les conditions de visibilité.
Aujourd’hui, le pilote est entouré d’avionique jusqu’aux doigts de pied, et l’on oppose aux béotiens les catégories I, II, III (cette dernière étant subdivisée en IIIa, IIIb et IIIc).
Où est le progrès ?
pronot@hotmail.com a commenté :
18 décembre 2013 - 7 h 18 min
dimanche 15 à 11h20
vol ryanair 4405 Marrakech- Dole Tavaux
brouillard tres dense
on commence la descente, à 15/20 m du sol
remise des gaz, l’avion se cabre et remonte
annonce de l’equipage “pas possible de se poser” deuxieme tentative (plus timide)
deuxieme echec , le vol est detourné sur Bale-Mulhouse
mes questions : Dole-Tavaux est il bien equipé
le pilote a t il pris des risques (et la tour?)
merci de m’eclairer!
Cémencle a commenté :
18 décembre 2013 - 10 h 50 min
Sans rentrer dans les détails techniques, et pour schématiser :
– Jusqu’à une certaine hauteur, l’équipage décide s’il continue l’approche ou s’il l’interrompe (remise de gaz) en fonction de la visibilité.
– De mémoire, Dôle Tavaux est une plateforme de catégorie I, c’est à dire disposant d’une aide radio à l’atterrissage (ILS) la moins précise, en l’occurrence nécessitant une portée visuelle d’au moins 550 m.
– L’équipage a donc estimé, à une hauteur ne pouvant être inférieure à 60 m (c’est la réglementation en catégorie I), que la portée visuelle était insuffisante pour un atterrissage en toute sécurité.
Vonfritschthofen a commenté :
18 décembre 2013 - 11 h 30 min
Avec plaisir : Dole est équipé d’un ILS cat I dont les minimas sont: visi minimale 750M , et s’il n’y a pas acquisition de références visuelles à 200 Ft (60m de Hauteur ) : c’est remise de gaz .Transporter des passager n’est pas du cinéma, ni un jeu, l’équipage n’a pas à prendre de risque et a bien exécuté les procédures et respecté les règles de conduite . Sans amélioration des conditions metéo, ils se sont “DÉROUTÉS” vers Bale (AD de CAT III ). Le terme “Détourné” est réservé aux pirates de l’air . Mieux équiper l’aérodrome serait fort couteux sans justification primordiale .
Anv a commenté :
18 décembre 2013 - 11 h 21 min
Venant d’un PNT, franchement vous m’étonnez !
L’avionique moderne, c’est une chose, les infrastructures au sol, s’en est une autre.
@PRONOT : non, l’équipage (et non LE pilote, ils sont quand même deux à bord !) n’a absolument pas pris de risque : passé l’altitude minimale de décision, si la visi n’est pas assez bonne (voire nulle), c’est une remise de gaz systématique. Si vous étiez limite (avec qd même un minimum de visi), vous pouvez tenter une deuxième approche dans l’espoir que cela se soit amélioré entre temps. Si ce n’est pas
Un mauvais équipage, c’est celui qui aurait décidé de continuer l’approche malgré la trop faible (ou absence) visibilité. Quand à la tour, elle ne peut pas savoir ce que voit l’appareil (notamment quand il pleut fortement). C’est donc à l’équipage de décider ou non une remise de gaz après l’altitude mini. Par contre, dans le cadre d’un appareil précédent qui n’aurait pas libéré la piste rapidement, c’est la tour qui demande à l’avion suivant en courte finale d’effectuer une remise de gaz car elle est la mieux placée pour apprécier la situation.
En espérant avoir répondu à votre question.
Cémencle a commenté :
18 décembre 2013 - 12 h 11 min
@ ANV
Je n’ai pas souvenir que PRONOT nous ait indiqué qu’il soit PNT, sans quoi sa question aurait été très inquiétante ! ! !
chief pilot a commenté :
17 décembre 2013 - 16 h 52 min
Eh oui la postale a lyon Bron , la nuit avec les Transal loués a l’armée de l’air et les bons vieux Fokker, l’aéroport était fermé a cause de brouillard (et a l’époque Dieu sait s’il y en avait) avant qu’on assèche les Dombes ,et les pilotes de la postale se posaient ,ils étaient les seuls et le courrier était encore sacré ,comme au vieux temps heroiques ,il fallait l’acheminer coute que coute ,mais on peut prendre des risques avec des sacs postaux et moins avec des passagers
Soudan a commenté :
17 décembre 2013 - 22 h 23 min
Mais justement avec toute cette avionique ou est le problème de voler dans le brouillard?
On peut bien voler en pleine nuit.
Flagoo a commenté :
18 décembre 2013 - 10 h 40 min
Il n’y a pas que l’avionique, il y a l’équipement au sol. Il n’y a pas d’ILS cat III partout, bien au contraire (Une douzaine en France de mémoire). Le pilote de la RAM a le droit “d’aller voir” en sachant qu’il remettra les gaz.
Il faut bien acquérir les repères visuels à un moment, non ? Ou alors on supprime carrément les pilotes car ce n’est pas en croisière qu’ils sont très utiles…
Cémencle a commenté :
18 décembre 2013 - 10 h 52 min
Exact, sauf en catégorie IIIc, permettant un tout automatique.
pronot@hotmail.com a commenté :
18 décembre 2013 - 12 h 03 min
merci à tous
j’ai ma reponse!
bonne continuation sur ce site.