Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Air Mauritius : panne de réacteur en plein vol
Publié le 10 octobre 2013 à 14h00 par Alain Nguyen
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Alex a commenté :
10 octobre 2013 - 14 h 38 min
Visiblement, ce pax a l’air de s’y connaitre en aéronautique pour tenir des propos aussi pathétiques, on va mettre cela sur le coup du stress et de la panique.
Chez AF, une fois par semaine en moyenne une panne de réacteur se produit, cela fini rarement en catastrophe et en article de presse.
La procédure a été suivi par ces pilotes, et tout cela se termine bien, je ne vois pas pourquoi interroger donc un passager lambda, à part se faire les choux gras de cette info quelque peu ‘banale’ ..
Daniel a commenté :
10 octobre 2013 - 14 h 40 min
Les passagers ont eu la frousse de leur vie, mais doivent bénir le ciel d’être passagers d’un quadriréacteurs.
Ces temps, les A340 apparaissent ringards et peu rentables.
Mais imaginez le même incident sur un 777 ou un A330.
Moi a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 02 min
Je vole 700 heures par ans sur bimoteur, je m’imagine bien le même incident sur mon avion…
Ben c’est le même chose, déléstage si besoin et retour au point de départ. Fin de l’histoire…
Flo a commenté :
10 octobre 2013 - 14 h 55 min
Et ?
Si vous commencez à faire un article à chaque panne moteur ou QRF, il va falloir augmenter la capacité des serveurs…
Un coup d’oeil à aviation herald permet de se faire une idée du nombre d’incidents quotidiens et encore ils sont très loin d’être exhaustifs.
Alain Lebas a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 04 min
Effectivement, Aviation Herald publie des dizaines d’incidents du genre aux quatre coins du monde, des incidents qu’Air-Journal ne publie pas.
Cette fois, l’avion était à destination de Paris, avec un nombre de passagers français. Nous avons estimé que l’incident mérite d’être rapporté aux internautes français.
mme Patel a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 08 min
J’étais a bord de ce funeste vol et je tiens a apporter mon témoignage :
13h30 : le pilote signale que nous sommes en approche. Il est parvenu à rattraper son retard.
13h45: on entame la descente, j’entends les bruits du train d’atterrissage, l’avion continue et d’un coup, il remet les gaz et reprend de l’altitude. Le pilote nous dit que qu’il préfère refaire une approche car l’altitude n’est pas bonne. A ce moment commence un survol de la côte, nous sommes au dessus de l’eau. Nous nous posons des questions car un moteur vient de s’arrêter quand le pilote à repris de l’altitude. L’avion tourne en rond pendant de nombreuses minutes. J’aperçois les vagues de mon hublot, nous effectuons plusieurs rotations. Le va-et-vient de l’équipage de bord commence à inquiéter certaines personnes. La peur, l’angoisse peut se lire sur certains visages. A un moment l’hôtesse passe dans les rangées et la personne située derrière moi l’arrête et lui demande : « Que se passe-t-il ? » L’hôtesse lui répond avec un air paniqué : « Nous avons un soucis avec un moteur… » et s’effondre en larmes.
13h55 : l’hôtesse fait une annonce pour nous expliquer calmement la situation et l’équipage fait alors une démonstration pour la procédure de secours. Dès que le pilote prononcera le mot IDOINE , il faut prendre la position de sécurité. La peur apparait sur les visages, l’équipage passe parmi les passagers pour s’assurer que tout le monde à bien compris la procédure et vérifie également que nos ceintures sont bien attachées. A ce moment là le steward nous dit : « Pour évacuer, vous utiliserez la porte de derrière ». A ce moment-là mon cerveau déconnecte et je me dis que c’est du sérieux. La personne devant moi se retourne et dit : « Pour évacuer il faut que l’on s’aide, pas de panique, les un après les autres on avance ensemble ». Peu après l’annonce de l’hôtesse je réalise que si l’avion tourne en rond c’est peut-être pour vider le réservoir en cas d’atterrissage sur la carlingue.
14h00 : nous allons atterrir a Gillot, j’attrape mon passeport en me disant que pour l’identification du corps se sera plus simple. L’avion perd de l’altitude nous commençons à voler très bas. D’un coup, dépressurisation de l’avion, les lumières s’éteignent et là, l’annonce du pilote se fait entendre dans les hauts parleurs : “IDOINE, IDOINE “. L’équipage qui avait pris place à l’arrière de l’appareil se met à hurler “IDOINE IDOINE IDOINE” en continu pendant de nombreuses minutes et en faisant des moulinets avec leur bras. Tout le monde a la tête entre les jambes.
Une autre Hôtesse pleure et il semble que le Chef de Cabine se met a prier.
Je me vois mort, j’imagine mes proches pleurer….Je relevé la tête pour voir a travers le hublot, je veux voir arriver l’accident, l’anticiper et là, j’aperçois la piste et sens les roues toucher le sol. Une secousse mais rien de violent et tout le monde se m et à applaudir à s’embrasser. C’est le soulagement sauf une personne qui se met à hurler, à pleurer, en pleine crise d’angoisse… Sur la piste, j’aperçois les camions des pompiers, les gendarmes. Au moins 20 véhicules sont prêts à intervenir. Un pompier me prend dans ses bras et se met a sangloter.
Sur la route pour rentrer chez moi, je me suis arrêté et je me suis effondré en larmes. j’ai appelé ma mère pour lui dire que je l’aime et ensuite j’ai rejoint ma copine. J’ai pensé à elle chaque seconde!
ramada a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 16 min
Ca a du être une sacrée expérience votre histoire mais qu’elle est le rapport avec celle-ci car il s’agit d’un décollage pour Paris à 22h50 alors que pour vous, il s’agit apparemment d’un vol venant d’Europe…
Alain Lebas a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 16 min
Vous confondez avec un autre vol , Gillot, c’est l’aéroport Roland Garros à la Réunion, non ?
Alex a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 17 min
Etonnant votre témoignage, vous parlez de votre atterrissage et cet article évoque un décollage, y’a comme un bémol !!!
Vous parlez bien du même vol vous êtes sure ???
mme Patel a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 18 min
Effectivement. Mais je vous confirme que j’étais à bord , siège 43L
ramada a commenté :
10 octobre 2013 - 15 h 21 min
Un vol de la compagnie d’air mauritius?