Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Belgique : 300 millions pour son secteur aérien
Publié le 30 juin 2012 à 12h00 par Alain Nguyen
@Brussels Airlines
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Machinchose a commenté :
30 juin 2012 - 16 h 15 min
Isabelle, merci de rectifier la coquille et de lire 30.000.000 d’euros et non 30.000. Ceci dit, la vie de Brussels Aitlines est hasardeuse, car la tête est pourrie. Le top management ne pense pas en stratégie aviation, mais plutôt en stratégie financière. Les conséquences sont dramatiques, c’est ainsi que sans un Positionnement (Sep) aviation, le management navigue dans tous les sens. Les décideurs doivent être du secteur, et non des apprentis sorciers. Brussels Airlines est une Camair améliorée, cad vivant de subsides et de privilèges politiques. Lufthansa a fait une très mauvaise affaire en maintenant ce top management qui n’est qu’un top disaster.
Ex-Sabena a commenté :
30 juin 2012 - 19 h 02 min
C’est une honte … Pour moi cette compagnie peut aller à la ruine ! Quand je songe que le gouvernement belge a laissé tomber la Sabena et précipité 10.000 personnes dans le marasme le plus complet et que maintenant, après dix ans, Brussels Airlines est toujours au bord du gouffre et accumule les pertes. Je ne souhaite qu’une chose, que Lufthansa prenne le large …. car chez Brussels Airlines, c’est un nouveau corps avec …. le même cancer à l’intérieur (managment). J’ai honte d’être belge !
Machinchose a commenté :
30 juin 2012 - 19 h 33 min
Sabena était une très bonne compagnie, qui avait même reçu un prix de la meilleure compagnie au monde ! Aujourd’hui il n’y a pas honte d’être belge, car Brussels Airlines est un montage de Davignon. Connaissant le personnage maffieux , les conséquences étaient prévisibles. Ce qu’il faut faire, c’est de le dégager et de laisser faire les pros. Alors tu pourras être fier d’être belge pour avoir nettoyé cette ordure et sa clique.
Arsenic a commenté :
30 juin 2012 - 20 h 30 min
J’aimerais savoir si les aides financières perpétuelles dont bénéficient de façon discrète Brussels Airlines, et bien souvent légitimées par des clauses subtiles et perverses insérées dans ses statuts, ou pas !, ainsi que les mirobolants salaires et avantages iniques d’une hiérarchie gloutonne, ne devraient pas s’inscrire également à la rubrique “avantages fiscaux”. Dans l’immédiat, cette façon d’être et de faire plombe directement les comptes de la Cie et pille l’Entreprise.
En clair, le problème de Brussels Airlines est lié à une gestion calamiteuse.
Pour répondre à “ex-sabena”, les Belges, et nous Français (AIR LIBERTE par ex.), pouvons directement remercier le Baron Ernst-Antoine Seillière, ancien patron du MEDEF en France et aujourd’hui patron des patrons européens, pour son habile participation à cette fumisterie. Avec l’aide des autorités des marchés financiers qui savaient dès l’origine que l’affaire Swissair était vouée à l’échec. En effet, SWISSAIR n’avait pas la carrure financière pour absorber
Mr Ernst-Antoine Seillière est un habitué des pactoles généreux pour lui mais néanmoins humainement désastreux voire “crapuleux” pour les laissés-pour-compte.
Mais il est intéressant de considérer aussi que la faillite de la SABENA est due au fait que l’état Belge avait retiré ses billes dans le but d’aider une autre Cie.
Bref, un canevas comptable très compliqué, initié par des avocats fiscalistes entre autres, et qui poursuit son oeuvre destructrice dans le système hideux de la mondialisation.
Cherchez l’erreur…