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ATN : le plan social en discussion

Publié le 24 février 2012 à 15h15 par Alain Nguyen

2 commentaires

Bien que la mise en place d’un plan social chez Air Tahiti Nui (ATN) semble inévitable, les syndicats réclament au préalable un audit financier et social de la compagnie polynésienne. Depuis son arrivée à la tête d’Air Tahiti Nui en novembre 2011, Etienne Howan cherche le moyen de redresser les comptes de la compagnie polynésienne. Et ceci devrait entre autre chose passer par un plan social concernant environ 10% de ses 780 employés. En effet, ATN totalise 17.000 heures de vol, réparties sur quatre avions. Or sa masse salariale est calibrée pour l’exploitation de cinq avions et un programme de vol de 25.000 heures. D’après Tahiti Infos, les syndicats reconnaissent qu’un plan social sera certainement inévitable, mais avant ils réclament un audit financier et social de la compagnie. Ils veulent aussi savoir quelle est la stratégie de la direction en dehors de ce plan. ATN opère actuellement quatre Airbus A340-300 depuis sa base de Papeete vers Paris, Los Angeles, Tokyo et Auckland. Elle partage ses codes avec Air France, Air New Zealand, American Airlines, Delta Air Lines, Japan Airlines, Qantas et Vietnam Airlines.

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Commentaire(s)

chief pilot a commenté :

24 février 2012 - 20 h 38 min

Les Polynesiens en ont marre de financer cette compagnie et il n’ya qua se promener dans les rues de Papeete pour demander aux gene ce qu’ils en pensent et ils sont tres en colère …tout cela aprés les problèmes deja rencontrés il ya quelques années avec certains membres d’equipage (ceux qui connaissent ces affaires le savent)et puis le tourisme et l’economie des iles se sont effondrés avec la crise;en plus conserver des Airbus A340 n’est pas la bonne solution

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DANYLOOPING a commenté :

26 février 2012 - 1 h 12 min

Des problèmes il y en a dans toutes les compagnies du monde, seulement la presse locale n’ayant vraiment pas grand chose à raconter se délecte en faisant les gros titres dès qu’il se passe quelque chose. Étonnement lorsque cela se produit ailleurs, alors là rien. Cette compagnie comme beaucoup de société dirigée par les politiciens a subit énormément et l’ensemble de ses salariés avec. Cela ne l’a pas empêché d’être élue année après année meilleure compagnie du pacifique.
De plus si un jour il ne devait rester que Air France, alors j’aimerai bien voir la tête de ceux qui se plaigne lorsqu’ils achèteront leur billet avec des prix qui s’envoleront dès le monopole en place.

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