Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Rétrospective 2011 : l’AF447 révèle ses boîtes noires
Publié le 31 décembre 2011 à 12h00 par Joël Ricci
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Ellen HK a commenté :
1 janvier 2012 - 18 h 14 min
Pourquoi s’insurger contre le livre d’Otelli qui ne fait que reprendre et analyser le contenu des boites noires. Ce livre est au contraire passionnant et permet au neophyte de comprendre un minimum ce qui se passe.
Les clients, que je suis ont le droit de se poser des questions sur le professionnalisme des pilotes, choisis, recrutes et formés par Air France.Je choisis de monter dans une voiture quand je connais le conducteur. Il n’en est pas de même dans un avion; Si les clients du 447 avaient pu se douter que les manettes étaient confiées à un debutant , peut-être qu’ils auraient eu le choix de ne pas embarquer et de perdre leur vie.Qt au commandant de bord qui est parti se reposer alors même qu’il savait rentrer dans un zone de turbulence accrue, c’est une attitude négligente inacceptable.J’ai cru avoir lu qu’il en avait le droit, de quoi, de partir quand la situation est dangereuse??Brrr!!
Guilhem a commenté :
2 janvier 2012 - 12 h 27 min
Pourquoi s’insurger contre le livre de JP Otelli ? Pour la bonne et simple raison qu’il s’agit d’une publication illégale de données relatives à un accident dont seul le BEA a autorité à divulguer, sans mentionner le fait qu’une enquête pour homicides involontaires est ouverte.
Avant de vouloir prétendre à s’inquiéter du professionalisme des pilotes d’Air France (je fais référence à vos allégations sans fondements “pilote débutant” / “commandant de bord à l’attitude négligeante”), il serait de bon ton de jeter un simple coup d’oeil au rapport d’étape du BEA, ce qui aurait pu vous éviter ces commentaires inutiles :
-Entre 1 h 59 min 32 et 2 h 01 min 46, le commandant de bord assiste au briefing entre les deux copilotes, au cours duquel le PF dit notamment que « le petit peu de turbulence que tu viens de voir […] on devrait trouver le même devant […]
Le commmandant de bord a quitté le cockpit une fois la croisière entamée et après le briefing conforme à la procédure, comme dans 100% des vols long-courriers qui nécessitent 3 pilotes. Il en a non seulement le droit mais aussi le devoir, afin de ne pas mettre en danger la conduite de l’aéronef par un état de fatigue avancée. Ce sont là des normes IATA et non propres à Air France.
Dernier point: si en tant que néophyte vous avez pu comprendre ce qu’il se passait dans le cockpit de l’AF447 grâce au livre de JP Otelli, ayez l’obligeance de prendre contact avec l’équipe d’experts du BEA en charge de l’enquête.
Thiti a commenté :
2 janvier 2012 - 10 h 49 min
Plusieurs fois, il est question de “jeune pilote” ou “jeune co-pilote” … Le choix des mots par l’auteur ne paraît pas innocent. S’agit-il de leur âge ou de leur ancienneté en tant que pilote ? S’agit-il de leur nombre d’heures de vol ? S’agit-il de pilotes formés ab initio sans autre expérience de base que des heures de simu ? S’agit-il, finalement, d’une remise en cause des modalités de sélection d’Air France ?. Autant de questions qu’induisent cet article et qui se posent d’autant plus que le silence est de rigueur. Ellen HK a raison. Air France est mal classée sur le plan de la sécurité. Un peu de respect à l’égard des passagers s’impose.
Guilhem a commenté :
2 janvier 2012 - 13 h 20 min
# (1) Commandant de Bord
* Nationalité française
* 58 ans
* Entré à la compagnie en 1988
* Qualifié sur Airbus A330/A340 en février 2007
* 11 000 heures de vol dont 1 700 sur Airbus A330/A340
# (2) co-pilote
* Nationalité française
* 32 ans
* Entrés à la compagnie en 2004
* Qualifiés sur Airbus A330/A340 en juin 2008
* 3 000 heures de vol dont 800 sur Airbus A330/A340
# (3) co-pilote
* Nationalité française
* 37 ans
* Entrés à la compagnie en 1999
* Qualifiés sur Airbus A330/A340 en avril 2002
* 6 600 heures de vol dont 2 600 sur Airbus A330/A340
serge a commenté :
4 janvier 2012 - 2 h 02 min
S’il n y avait pas 228 personnes perdues au fond de l’océan on peut prendre des précautions vis a vis des pilotes de la compagnie et d’airbus .
Mais devant un si grand drame il faut aller chercher la vérité même si ça coute.
je n’ai aucun proche dans cet avion mais je pleure 228 personnes perdues au fond de l’océan sans raison .
Je crie ma colère et je dis comment est ce possible que 3 pilotes aux commandes de l’avion personne ne s’est occupé de la POSITION DE L AVION DANS LE CIEL .
et ceci pendant 3 minutes .
un autre point pourquoi l’alarme de décrochage s’arrète quand l’avion est en l’air même sans vitesse alors au contraire il doit augmenter en volume et en intensité .
Enfin je pose une question l’altitude n’est pas indiquée sur ces avions au point de ne pas savoir si on monte ou si on descend .
OU bien y a t’il d’autres raisons…qui échappent aux boites noires c’est possible …
Guilhem a commenté :
4 janvier 2012 - 12 h 03 min
Premièrement, un seul pilote est “au commande” (càd en fonction – PF) et ceci dans tous les avions de ligne.
Deuxièmement, la position de l’avion (incidence, assiette, altitude) est le principal soucis des 3 pilotes dans le cockpit comme le montre le CVR.
Troisièmement, l’alarme de décrochage n’a pas été conçu pour fonctionner dans un domaine de vol aberrant (ici, un A330 passant de la croisière à une position quasi-statique), ce qui constitue un facteur aggravant à la situation, voire contributif à l’accident étant donné que 1) les pilotes ne pouvaient s’en douter et 2) une alarme qui fonctionne par intermittence est par essence douteuse.
serge a commenté :
4 janvier 2012 - 19 h 12 min
Monsieur je vous remercie de votre réponse aussi rapide . votre dernière réponse me donne raison l’alarme est faite pour fonctionner comme elle a fonctionné et alors je pose une quetion simple est’il possible de progammer l’alarme qui fonctionne sans arret du décolage des roues jusqu’au retour a la même position .
enfin j’ai beaucoup de questions tellement ce drame m’a marqué mais le sujet est trop brulant pour aller plus loin…