Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Sénégal Airlines veut se développer depuis Abidjan
Publié le 14 juillet 2011 à 14h44 par Joël Ricci
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delthier a commenté :
14 juillet 2011 - 17 h 24 min
Vraiment comment la politique du non développement est mise en place : Sénégal Airlines se bat pour refuser toutes compagnies concurrentes à Dakar et de façon hypocrites veut se lancer sur des routes qui ne dépendent pas de sa base! Pourtant cette compagnie a signée les accords de Yamoussoukrou mais veut qu’elle ne s’applique pas pour les autres mais uniquement pour elle§ Comme en Cote d’Ivoirre le président actuel, Alassane OUATTARA ne veut plus d’Air Ivoire (dont le propriétaire ivoirien est proche de L. GBAGBO), il préfére ne pas avoir de compagnie et laisser l’espace aérien à son ami A. WADE!!! Vraiment quant les politiques africains préfèrent l’absence de progrès pour la magouille !!! Un président ivoirien qui veut le chômage direct de ses concitoyens plutôt que l’économie véritable celle qui fait vivre les entreprises bien gérées ou mourir celle qui ne le sont pas!
LA SM.M.S SARL a commenté :
15 juillet 2011 - 0 h 56 min
Toutes nos félicitations à Sénégal Airlines.
Pendant plusieurs années les deux défuntes compagnies, Air Mauritanie et Air Sénégal International étaient seules dans la sous région et elles collaboraient étroitement.
Les deux compagnies étaient tellement présentes aux aéroports d’Abidjan et de Cotonou que certains se demandaient si elles ne devaient pas fusionner pour remplacer Air Afrique qui venait de s’arrêter.
Cela donc ne peut que faire plaisir aux ressortissants des Pays Riverains du Fleuves Sénégal (P.R.F.S) que nous invitons à se regrouper et, à défaut de faire une compagnie aérienne commune, négocier un cadre dans lequel les compagnies Mauritania Airlines, Sénégal Airlines, Air Mali et Air Guinée doivent se sentir chez elles dans chacun des quatre pays.
Ainsi, Sénégal Airlines doit pouvoir embarquer des passagers de Nouakchott pour les déposer à Casablanca en négociant avec les Marocains et non avec les Mauritanien.
Mauritania Airlines ne doit se sentir obligée de négocier qu’avec les Congolais pour embarquer des passagers de Dakar pour Brazzaville et vice versa.
Ces exemples sont valables pour les autres compagnies et pour les autres destinations.
La Sénégalo-Mauritanienne de Services (S.M.S.) SARL
Chams-Eddine NDIAYE a commenté :
15 juillet 2011 - 12 h 09 min
On dirait que Sénégal Airlines est en train de reproduire le projet Sahelian Air que j’ai initié depuis 2003 et que le Sénégal n’a jamais voulu regarder de prêt au prétexte que Chams-Eddine NDIAYE n’est pas connu dans le transport aérien.
Depuis l’arrêt des opérations de ASI, j’avais déjà conclu à l’impossibilité absolu de développer une compagnie aérienne nationale et préconise d’oublier l’amour nationaliste et de favoriser la régionalisation et le Panafricanisme. Cela, pour des raisons évidentes de recherche d’économie d’échelle et de mutualisation des coûts.
La stratégie aérienne ne se décide pas sur la base d’un pilotage à vue et d’un décision affective mais une réalité de marché qu’il faut savoir analyser.
J’affirme haut et fort que la stratégie mener par Senegal Airlines mène cette compagnie à la faillite et toute tentative de redresse de la politique de déploiement risque d’être encore plus que préjudiciable vu la situation de guerre en dénonçant les accords sur le “Africa Open sky”.
Senegal Airlines doit se mettre à l’évidence que le schéma du Projet Sahelian Air est la solution pour mettre en place une véritable compagnie aérienne africaine rentable et viable.
Depuis ma proposition de la reprise, sans licenciement, de ASI, ma présentation de Air Europa et des Airbus pour le pèlerinage 2009 (le prix de 1460 € le billet était ma proposition!), je reste disposé à redresser Senegal Airline et de mettre en place une véritable compagnie aérienne africaine qui aura plusieurs HUB (Dakar, Cotonou et Brazza).
L’ANACS sait de quoi je parle alors oublions la politique et l’orgueil nationaliste pour sauver l’investissement déjà réalisé par les privés sénégalais. Le transport aérien est une industrie qui ne se construit pas sur les bases d’une volonté politique…
Kouakou a commenté :
15 juillet 2011 - 18 h 33 min
Pourquoi d’ASKY Airlines ne desservirait pas DAKAR ? De quoi a peur Sénégal Airlines au point de refuser à certaines compagnies le droit de survol ou d’atterrissage au Sénégal ?
Il faut que le ciel sénégalais soit open et que les organisations de l’aviation civil ramène les uns et les autres à la raison ou à la concurrence. On ne peut pas en 5 mois d’exploitation avoir des problèmes avec ses allier d’hier et si ses compagnies avaient boycotté la desserte de DAKAR lorsque Sénégal Airlines n’existait pas ou quand AIR Sénégal international a connu des difficultés.
Pour le cas d’ASKY on peut considérer que si à cause d’Ethiopian qui détient 25% du capital qui pourtant dessert DAKAR. La cognée est à l’arbre.et mieux encore On ne peut arrêter la mer et ses bras on à dit concurrence. A terme ceci ne fait que renforcer ASKY qui est entrain d’affuter ses armes et de trouver les moyens de sa stratégie.« Si PRO qu’on soit on connait toujours plus PRO que soi » ; tot ou tard la vérité germera wait and see !
delthier a commenté :
15 juillet 2011 - 21 h 06 min
Je constate que je ne suis pas seul à penser que la politique commerciale de développement de Sénégal Airlines est suicidaire! Comment une compagnie au nom tant affirmé (SENEGAL AIRLINES) peut elle devenir une compagnie panafricaine! Ethiopian Airlines est panafricaine car elle a une base : Addis Abeba; de même pour Kenya Airways (Naïrobi), South african airways (Jo’Burg)!!! Alors Sénégal Airlines doit savoir qu’avec un nom pareil elle ne peut être panafricaine qu’en se développant à Dakar! A elle de savoir attirer les passagers pour des transits efficaces à Dakar et non voir plus loin que sa base (Dakar) où elle n’a pas encore les ailes solides !!!