Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Vol Rio-Paris : pour Air France, les pilotes n’ont pas fait d’erreur
Publié le 27 mai 2011 à 17h55 par Joël Ricci
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Michel C a commenté :
27 mai 2011 - 18 h 25 min
Pour Airbus, l’appareil n’est pas en cause; pour Air France, l’équipage n’est pas en cause : chacun prêche pour sa chapelle. Et si on attendait les conclusions de l’enquête ?
seb31 a commenté :
27 mai 2011 - 19 h 54 min
Air France défend ces pilotes, paix à leur âme, il ya quand même deux points qui posent question: les pilotes ont ils pris les actions nécessaires à l’évitement d’une zone de givrage intense ? Pourquoi l’action du pilote en fonction est elle restée essentiellement à cabrer sur un avion sur lequel les pilotes avaient pleine autorité?
Hélas l’histoire de l’aviation nous prouve qu’il est difficile de récupérer le contrôle d’un avion de ligne lorsque celui ci a décroché, mais l’action attendue en ce cas n’est certainement pas à cabrer.
lecteur perplexe a commenté :
28 mai 2011 - 17 h 08 min
@Seb31,
Le rapport final sera peut être plus parlant, mais peut être le PHR a-t-il été décroché, auquel cas il ne sert plus a rien et la seule manière de récupérer un avion dans ce cas de figure reste de modifier la poussée (en + ou surtout en -).
Néanmoins, les PNT n’ont fait qu’appliquer les procédures en vigueurs en 2009 chez Air France.
Van Gelder a commenté :
27 mai 2011 - 20 h 09 min
Que s’est-il passé comme catastrophe le 1er décembre 2009???
Et quel est le rapport avec la catastrophe du vol AF447???
Petrouchka a commenté :
28 mai 2011 - 12 h 07 min
@Seb31,
Je ne crois pas qu’il s’agisse d’une “zone de givrage intense” mais probablement d’une défaillance des sondes Pitot (système de dégivrage ?… qui a mené les compagnies à ré-équiper les A330 par la suite), qui dans de telles conditions (altitude, vitesse, température), entraîne les perturbations des paramètres de vol.
“Turbulences” doit se référer à la zone qui devait “secouer” un peu, auquel cas effectivement l’équipage a pu choisir de l’éviter.
johangw a commenté :
9 juin 2011 - 15 h 24 min
Ils ont seulement perdu l’avion. Gardé lavion cabré, la PHR (trim stabilo) nose up. Je ne comprends pas pourquoi la premiere action du PF etait de cabré lavion à la place de le maintenir ou il etait. dailleur, la PHR est manuellement reglable sur le manche.
Combe a commenté :
16 juin 2011 - 10 h 47 min
Il est nécessaire d’attendre les conclusions de l’enquête, mais, quelque soit le modèle d’avion, la mécanique de vol est identique : en cas de décrochage “bas”, seule une action à piquer permet de retrouver le palier stabilisé. Une action à cabrer ne fait qu’augmenter le processus de décrochage, alors qu’inverser l ‘assiette de l’avion, même au FL 330 des le déclenchement de l’alarme, aurait du permettre de récupérer le palier contrôlé dans les basses couches au plus tard. Dans un environnement certes hostile (nuit, turbulences, perte d’information de vitesse, alarmes multiples successives,…), les réflexes de base, surtout en loi directe, ne sont-ils pas l’évidence alors que l’A330 était dans un domaine de vol très restreint ?