Mieux vaut ne pas arriver en retard à l’aéroport Paris-Charles de Gaulle. En effet, pour atteindre votre porte d’embarquement, vous pourriez avoir plus jusqu’à environ 2,35 kilomètres à parcourir depuis l’entrée de la salle de départ à la porte d’embarquement.
C’est ce que révèle une récente étude de Parkos, site de réservation de places de parking dans les aéroports. On y découvre également que c’est dans l’aéroport espagnol Madrid-Barajas que la distance maximale à parcourir est la plus grande. Pour chaque aéroport européen, Parkos a utilisé Google Earth et a calculé le nombre de kilomètres à parcourir depuis l’entrée de la salle de départ jusqu’à la porte d’embarquement la plus éloignée. Avec une distance maximale à parcourir de 2,35 kilomètres, l’aéroport Paris-CDG se classe en troisième position, derrière les aéroports de Madrid et d’Athènes, respectivement 1er et 2è au classement. Paris-CDG dispose toutefois des navettes sur rail N1 et N2 pour éviter aux passagers de se rendre à certaines portes d’embarquement à pied.
Les 5 aéroports européens avec les distances à parcourir les plus longues
-Aéroport Adolfo Suárez Madrid-Barajas, Espagne – 2 503 mètres
-Aéroport international d’Athènes, Grèce – 2 490 mètres
-Aéroport Paris-Charles de Gaulle, France – 2 346 mètres
-Aéroport de Francfort, Allemagne – 1 835 mètres
-Aéroport de Londres-Heathrow, Royaume-Uni – 1 798 mètres
Les 5 aéroports français avec les distances à parcourir les plus longues
En France, l’aéroport Paris-Charles de Gaulle est de loin celui où la distance maximale à parcourir est la plus longue. L’aéroport Nantes-Atlantique est celui où cette distance est la plus faible : au maximum, vous n’aurez que 132 mètres à parcourir pour rejoindre votre porte d’embarquement.
-Aéroport Paris-Charles de Gaulle, France – 2 346 mètres
-Aéroport Lyon-Saint Exupéry – 680 mètres
-Aéroport Marseille-Provence – 585 mètres
-Aéroport Nice-Côte d’Azur – 420 mètres
-Aéroport international de Bâle-Mulhouse – 397 mètres
@fra a commenté :
14 septembre 2024 - 14 h 09 min
Intéressant cet article.
C’est vrai qu’on a tendance, après avoir passé les contrôles, à se dire qu’on a le temps, à aller traîner au duty-free… et on néglige la distance à parcourir jusqu’à la porte.
Heureusement, la plupart des gros aéroports indiquent maintenant le temps de marche nécessaire pour l’atteindre.
H116L a commenté :
14 septembre 2024 - 14 h 37 min
Ajoutons qu’il y a km et km – A CdG certains parcours passent par des sortes de labyrinthes avec escaliers, ascenseur parfois en panne et le tout dans une lumière faible et grisâtre – Rien pour détendre le voyageur – et ce ne sont pas les affichages peu clairs ou inexistants qui portent remède – Et par charité, on ne parlera pas des hôtes et hôtesses supposés fluidifier le trafic qui n’ont pas l’air de connaitre cet aéroport.
mauvaise foi a commenté :
14 septembre 2024 - 17 h 59 min
Quelle mauvaise foi !
Sam a commenté :
15 septembre 2024 - 9 h 42 min
Vous avez un peu raison( bien que très exagéré) pour ce qui est dés arrivées.
Concernant les départs, c’est tout à fait convenable. Il y a des navettes par train (2E) et des tapis roulants un peu partout. Et tout à la lumière du jour.
Malgré la réussite des JO, je vois que nous sommes toujours en lice pour la médaille d’or de l’auto-dénigrement.
CecildeMille a commenté :
15 septembre 2024 - 12 h 30 min
H116L : malheureusement en très grande partie d’accord avec votre commentaire. De Toulouse, j’essaie au maximum d’éviter le hub Roissy-CDG, au besoin en ne volant pas sur AF.
Bouboule a commenté :
15 septembre 2024 - 9 h 50 min
J’ai quelques mauvais souvenirs à Lyon et au nouvel aéroport d’Istanbul…
Dakota a commenté :
15 septembre 2024 - 9 h 55 min
Il me semble que se contenter de mesurer l’extension totale de l’emprise d’une aérogare (ou ensemble d’aérogares) n’est pas une méthode satisfaisante, du moins pour le pax. Ce qui compte, selon mi, c’est la signalétique. J’ai pesté plusieurs fois contre celle, défaillante, de deux aéroports que je pratiquais pourtant assez souvent et qui sont bien “classés” a priori : Changi (Singapour) et Kuala Lumpur. Trouver le quai d’emabrquement d’une navette (gratuite ou payante) pour changer de terminal peut être une vraie galère…
Bob a commenté :
20 septembre 2024 - 11 h 31 min
Le système de jetées est la meilleure solution pour écourter la distance entre les contrôles et l’embarquement…
Mais il y a aussi les boutiques qui sont un vrai paradis pour les accros au shopping duty free…. Dont je fais parti !
Donc moi ça ne me dérange pas…. En plus faire quelques pas ça n’a jamais tué personne et ça détend le stress de prendre l’avion….
Donc il n’y a pas de sujet à ce propos….