DHL Express France a inauguré sa nouvelle plateforme de tri située au cœur de la zone cargo de l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle.
Le leader du transport express international a consacré 170 millions d’euros à ce nouveau site, 10 fois plus grand que le précédent. Il s’agit de l’investissement le plus important de DHL Express ces dernières années en Europe et du plus important jamais réalisé en France depuis son arrivée en 1976.
À elle seule, la chaîne de tri ultramoderne de ce nouveau centre de tri représente 45 millions d’euros d’investissement. Sa capacité de traitement atteint les 38 000 pièces (colis et flyers) par heure, soit 15 fois plus que l’installation précédente. Près de 720 collaborateurs, dont 239 emplois créés à ce jour, sont mobilisés pour assurer, 24h/24 et 7j/7, le fonctionnement de ce centre hors-norme, dont la surface d’exploitation est de 32 000 m2. Pour les clients franciliens, ce nouveau site de Paris-Charles de Gaulle représente d’ores et déjà un gain de temps d’une heure sur leurs livraisons et sur leurs enlèvements.
La plateforme de tri est implantée sur un espace de 91 000 m2, soit l’équivalent de 13 terrains de foot. Sa construction, débutée en mars 2020, a nécessité 20 mois de travaux. Désormais en ordre de marche, le site est dimensionné pour absorber la croissance des 10 prochaines années. Il pourra même être agrandi pour répondre à la hausse des échanges sans pour autant interrompre son activité.
« Le HUB de DHL Express de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle va tenir une place déterminante dans notre réseau international. Il s’agit du quatrième HUB le plus grand de notre réseau européen en taille et en volume de traitement de colis, après Leipzig, East Midlands et Bruxelles. Il fait partie des 23 hubs que nous avons dans le monde et des 12 qui se situent en Europe », a déclaré John Pearson, PDG de DHL Express Monde, à l’inaugure de la plateforme.
bergeron a commenté :
6 octobre 2021 - 9 h 54 min
Pas un seul mot sur l’effort pour le climat si cher aux écologistes. Et toujours Avions plus camions pour livrer plus vite et tôt le matin ce qui attend ensuite la journée dans les loges des concierges ou les couloirs des immeubles que le destinataire rendre de son travail en fin de soirée. À quand une réflexion sur l’urgence.