La compagnie aérienne low cost Volotea a dévoilé trois nouvelles liaisons pour les fêtes de fin d’année, qui relieront Toulouse à Brest et Lille d’une part, et Bordeaux à Figari en Corse d’autre part.
Après les nouveautés domestiques annoncées le mois dernier pour la période des fêtes de fin d’année, la spécialiste espagnole ajoute trois liaisons intérieures à son réseau en France. Du 18 décembre 2020 au 4 janvier 2021, elle propose deux vols par semaine entre Toulouse-Blagnac et l’aéroport de Lille-Lesquin (sept rotations au total selon son site de réservation), tandis que la Ville Rose bénéficiera des mêmes fréquences vers Brest-Bretagne.
Volotea proposera donc pour les fêtes de fin d’année 16 liaisons au départ ou vers Toulouse, dont la moitié domestiques, avec plus de 53.600 sièges mis en vente (Ajaccio, Bastia, Brest, Caen, Fuerteventura, Lanzarote, Lille, Luxembourg, Madrid, Malaga, Nice, Nantes, Prague, Strasbourg, Ténériffe et Venise). Si la recrudescence de la pandémie de Covid-19 ne provoque pas de nouvelles fermetures de frontières et autres restrictions de voyage.
Entre Bordeaux-Mérignac et l’aéroport de Figari-Sud Corse, le programme de Volotea pour les fêtes de fin d’année est le même, avec sept vols du 18 décembre au 4 janvier. Son site de réservations indique en outre que la ligne sera reprise en avril avec des vols samedi et dimanche.
La low cost se posera donc autour de Noël dans trois aéroports de Corse, avec 13 lignes vers Ajaccio, Bastia (6 chacune) et donc Figari pour un total de 43.300 sièges mis en vente.
Michel a commenté :
10 novembre 2020 - 13 h 10 min
Le nouveau HOP! By Air France 😉
Bref vous pouvez continuer à verser des milliards à Air France mais un jour il faudra se poser les bonnes questions et pourquoi le moyen courrier AF est en déroute depuis une décennie…
ALExxx a commenté :
10 novembre 2020 - 15 h 12 min
Effectivement, les vols province-province marchent très bien.
Ca aurait du être développé par la compagnie nationale puisqu’elle est nationale, mais sans doute trop chère (avec des coûts excessifs).
Fabien a commenté :
11 novembre 2020 - 9 h 46 min
Verser des milliards à AF? C’est à dire? De quoi parlez-vous?
Wouter a commenté :
11 novembre 2020 - 13 h 29 min
Il ne vous a pas échappé que 7Mds ont été versés à AF , et qu’une autre rallonge est en cours de réflexion, puis une Nationalisation dans l’air également…
loloboyer a commenté :
10 novembre 2020 - 17 h 03 min
STOP ! Faut arrêter les vols non essentiels sinon on ne va pas s’en sortir ! Un médecin francilien appelle à “annuler Noël et la Saint-Sylvestre” pour éviter une “3ème vague”
FL350 a commenté :
10 novembre 2020 - 17 h 46 min
Annulé, je ne sais pas, mais isolé, c’est bien parti.
ALExxx a commenté :
11 novembre 2020 - 9 h 10 min
C’est quoi un vol non essentiel ?
Pour info la PAF fait des contrôles attestation aux aéroports.
Mais on pourrait aussi supprimer les trains/bus/métro non essentiels aussi?
Bobii a commenté :
10 novembre 2020 - 20 h 16 min
Et donc, on fêtera Noel et nouvel an en juin ?
Menier a commenté :
11 novembre 2020 - 6 h 20 min
Des avions sans passagers pour des destinations sans intérêt ? Ca s’appelle être têtu !
CHRISTIAN a commenté :
13 novembre 2020 - 20 h 08 min
Avions vides ? Comme vous y allez…
Destinations sans intérêt ? Toulouse, Brest, et autres villes desservies, apprécieront…
Comment balancer des pareilles inepties ? Si la France avait eu, depuis cinquante ans, une vision un peu moins centrée sur Paris, en matière de réseau ferré, mais aussi en matière d’autoroutes (il y a des trous dans la couverture : regardez une carte du réseau autoroutier français, ensuite regardez la carte italienne, puis la carte allemande), les Français ne seraient pas obligés de compter sur l’avion.
Je ne suis ni pro ni anti avion. Il faut admettre que si les dessertes routières de région à région se sont améliorées au fil des décennies, ce n’est pas le cas pour le réseau ferré, dont la toile d’araignée centrée sur la capitale saute encore aux yeux.
Alors l’avion reste encore une solution pertinente. Sait-on qu’on ne peut plus faire Lyon-Bordeaux en train direct ? C’était possible il y a 20 ans. Je l’ai fait il y a trois ans : passage par Paris-Gare de Lyon puis transfert en métro jusqu’à Paris-Montparnasse ! Une compagnie ferroviaire nouvelle envisage de faire renaître cette liaison pour 2021. En attendant, l’avion, que ce soit avec Easyjet ou Transavia, reste le moyen le plus rapide sur cet axe : 500.000 passagers toutes compagnies confondues en 2019. Mêmes chiffres, à quelques dizaines de milliers près, sur Lyon-Toulouse, qui n’est toujours pas équipée d’une liaison de gabarit autoroutier, qui reste compliquée et longue par le train (passage par Montpellier, Carcassonne…) et qui fait donc les affaires de Hop ! (euh… feue Hop ?) et de Easyjet….
Et les écologistes n’y changeront rien, tant qu’ils ne prendront pas le problème avec moins de dogmatisme. Le nouveau maire vert de Lyon n’a rien trouvé de mieux à dire que la liaison ferroviaire Lyon-Turin était une mauvaise idée. Allez dire ça aux habitants des vallées alpines noyées dans la pollution des camions…
Le transport ferroviaire est un moyen de transport d’avenir, si notre pays sait l’organiser de façon plus pertinente, et un peu moins à travers le filtre de quelques experts parisiens… En attendant, l’avion en France ne peut pas disparaître, en particulier sur les grandes liaisons interrégionales. Parlez-en aux français qui doivent faire Nice-Nantes, Strasbourg-Toulouse, Lyon-Lille, Rennes-Marseille, Bordeaux-Nice…Alors Toulouse, Brest, Lille, et quelques autres métropoles régionales, réjouissez-vous de la présence de Volotea. Même si deux vols par semaine, c’est pas le top. A moins que les fréquences n’évoluent lorsque monsieur Coronavirus nous aura envoyé son faire-part de décès ?
fanaéro a commenté :
12 novembre 2020 - 8 h 04 min
Nous retrouvons ledit MEUNIER fidèle a ses convictions démago et anti aérien…