La compagnie néo-calédonienne Aircalin a signé un accord de partage de code avec la compagnie japonaise Japan Airlines.
L’accord permettra à Japan Airlines d’offrir cinq vols hebdomadaires entre Nouméa et Tokyo Narita, ainsi que deux vols hebdomadaires entre Nouméa et Osaka Kansai. En contrepartie, Aircalin placera son code sur les vols à destination des grandes villes du Japon, telles que Osaka, Fukuoka, Nagoya et Sapporo, ce qui offrira de plus grandes options aux clients. «Cet accord de partage de code avec Japan Airlines est un exploit historique pour Aircalin, a commenté William Le Grand, directeur commercial d’Aircalin. Nous sommes confiants que cela contribuera au développement du trafic touristique vers la Nouvelle-Calédonie et le Japon. Nous nous sommes engagés à construire un partenariat fructueux et durable. »
De son côté, Hideki Oshima, directeur de Japan Airlines, a annoncé qu’il était pour sa compagnie « intéressant d’ajouter à notre réseau la Nouvelle-Calédonie, une belle île avec de magnifiques plages. Avec Aircalin, nous proposerons des options de voyage pratiques à nos passagers. » Une fois les approbations réglementaires obtenues, les billets seront progressivement mis en vente via différents canaux de réservation.
©Airbus
wawawoum a commenté :
15 septembre 2019 - 2 h 06 min
«Cet accord de partage de code avec Japan Airlines est un exploit historique pour Aircalin”… Je n’ai pas la même définition d’un exploit.
Si un accord commercial codeshare est un exploit historique, alors marcher sur la lune en 1969 devient quoi?
Ben c'est évident! a commenté :
15 septembre 2019 - 10 h 59 min
Marcher sur la lune en 1969 n’a jamais été ” qu’un petit pas pour l’homme mais un pas de géant pour l’humanité”…
Et c’est pas moi qui l’ai dit!
UYS a commenté :
15 septembre 2019 - 13 h 19 min
《pour Air Calin》 donc je vois pas le rapport avec 1969 (d’ailleurs air calin n’existait même pas)
WAWAWOUM a commenté :
17 septembre 2019 - 10 h 41 min
Définition de Exploit sur le Larousse:
“Action mémorable, ou qui dépasse les limites ordinaires”.
C’est juste un accord commercial entre 2 entreprises aérienne comme il en existe des centaines.
Un exploit historique sera de vendre des billets permettant d’améliorer le taux d’occupation des avions.