La compagnie aérienne Qatar Airways dessert désormais l’archipel des Maldives trois fois par jour au départ de Doha, une des rotations étant opérée en Airbus A350.
Depuis le début de la saison d’hiver le 28 octobre 2018, la compagnie nationale qatarie propose trois vols quotidiens entre sa base à Doha-Hamad International et l’aéroport de Malé-Velana, opérés en Airbus A330-200, A330-300 ou A350-900 selon les jours. Les départs sont désormais programmés à 2h10, 5h20, (nouveau) et 8h25 pour des arrivées respectivement à 9h00, 12h20 et 15h15 ; les vols retour quittent l’archipel de l’Océan indien à 10h15, 18h30 (nouveau) et 20h20 pour se poser respectivement à 13h25, 21h40 et 23h30. Qatar Airways est sans concurrence sur cet axe, les Maldives étant également desservies depuis le Golfe par Emirates Airlines, Etihad Airways et Oman Air.
La compagnie de l’alliance Oneworld souligne que ce vol supplémentaire offre à ses passagers « encore plus de flexibilité et de choix lors de la planification de leur escapade sur cette île paradisiaque tropicale ». Pour le CEO du groupe Qatar Airways Akbar Al Baker, « une expérience de voyage luxueuse ne concerne pas seulement la destination, mais aussi l’ensemble du voyage. La fréquence quotidienne supplémentaire entre Doha et les Maldives témoigne de notre volonté d’élargir notre réseau mondial de liaisons, afin d’offrir à nos passagers un choix amélioré et une plus grande flexibilité lors de la planification de leurs vacances. Nous sommes heureux de pouvoir poursuivre nos efforts pour offrir à nos passagers encore plus d’opportunités de découvrir cette destination captivante ».
L’A350-900 pouvant accueillir 36 passagers en clase Affaires et 247 en Economie est déployé vers les Maldives depuis octobre 2017, parfois sur deux rotations quotidiennes durant ce mois de novembre. Avec 21 vols par semaine, la connectivité de l’archipel devrait être améliorée vers et depuis « des destinations telles que Londres, Berlin, Paris, Milan, Rome, Francfort, Zurich, Moscou, New York, Los Angeles, Chicago ou Nairobi ».
La prochaine nouveauté de Qatar Airways est Danang, sa troisième destination au Vietnam, à partir du 19 décembre prochain.
Islander a commenté :
2 novembre 2018 - 21 h 02 min
Vous écrivez dans votre article : “Qatar Airways est sans concurrence sur cet axe, les Maldives étant également desservies depuis le Golfe par Emirates Airlines et Etihad Airways.” Il faudrait ajouter Oman Air également (réf. votre article précédent “Oman Air se pose à Moscou et aux Maldfives”)
jmarc - t-lfsp1@outlook.fr a commenté :
3 novembre 2018 - 7 h 23 min
Bjr – Entre le Qatar et les Maldives, pas un pour racheter l’autre ! Tristes pays où le mot “droits de l’homme” n’est pas inscrit dans le dictionnaire. Plages de sable blanc aux Maldives, supers beaux hôtel etc… sauf que la route qui y conduit ne passe pas devant la réalité de ce qu’est la vie là-bas. Comme dans bien des pays, des fous furieux en sont à la tête. Et nous, bien sûr, comme des moutons, on y va tout droit dépenser nos beaux et bons euros histoire d’entretenir l’esclavagisme moderne et les dictature de tout poil.
NDR a commenté :
3 novembre 2018 - 9 h 56 min
@Jmarc
?
C’est partout pareil cher JM sauf qu’il y a des chefs d’états qui donnent leurs chances a des fourmies a 5$/jour et d’autres chefs d’états qui les attendent de pied ferme avec une armée de 15 000 soldats hyper entraînés pour les shooter 😉
Autant je suis fou de rage contre l’analpgabetisme intellectuel de tout ces emirats qui se sont engouffrés dans des boycottes aériens qui ne disent pas leurs noms autant en ce qui concerne ton “supposé esclavagisme” dans ces cités états j’ai bien peaufiné le suget y vompris pour la construction des stades il s’agit ni plus ni moins d’un truc qu’on a en France depuis des années : le phénomène des travailleurs détachés un fait qui existe en Europe et ailleurs, sauf quand il s’agit de la Chine qui emploie des prisonniers sur des chantier au Kenya, en Tanzanie ou en Algérie aucun journaliste ne parle mais quand c’est le Qatar qui engage une société indienne et qui débarque avec ses travailleurs indiens tout les journalistes se lèvent pas par ce que c’est plus grave mais surtout par ce qu’une fois leur papier écrit ils attendent beaucoup de paquets de pognon en échange d’arrêter de cibler cet état, on en a vu des exemple de ce genre il y a même deux journalistes français bien connus qui ont été prix sur le flag délit de chantage de ce genre mais bien sûr qui ne risquent pas chose mais s’ils avaient gagné ils auraient gagné gros.
In fine a part le Maroc et la Cote d’Ivoir je défie quiconque de trouver un autre état africain ou les chantiers chinois ne font pas “corveter” les repris de justice de l’empire du Dragon ce qui fausse les appels d’offres avec les groupes européens, marocains et turques d’ailleurs !
jmarc a commenté :
3 novembre 2018 - 14 h 30 min
D’accord à 200 % et c’est vrai qu’il n’est pas nécessaire de parcourir 5.000 km. On ne va épiloguer là-dessus au risque de gaver les lecteurs éventuellement, on peut poursuivre via courrier puisque mon adresse figure dans mon message.
Triste monde auquel nous appartenons et parfois, nous nous faisons complices de tout ça, c’est bien dommage et révoltant. Cordialement.
Anna el-fabet a commenté :
3 novembre 2018 - 7 h 52 min
Quelle course !
Et ces vols ont des coef de remplissage de 89%..?
Quand certains imaginent encore que ce qu’ils appellent « développement » n’est qu’une course frénétique tirant vers le bas des modes de vie insulaires, isolés, ne nécessitant aucunement la présence de ces transports de viande sur pieds.