EasyJet Europe est opérationnelle à Vienne

Commentaire(s)

1. Bravo Easyjet... a commenté :

   20 juillet 2017 - 12 h 19 min
   

   C’était une compagnie britannique opérant sur tout le continent européen…
   C’est maintenant une compagnie européenne ( actionnariat actuel et futur à capitaux majoritairement européens-post Brexit) opérant aussi au Royaume Uni….

   Mais à part cela: rien d’autre ne change …pour l’instant!!!

   Répondre

2. Salut a commenté :

   20 juillet 2017 - 12 h 31 min
   

   Nous attendons tous les prix nobel et autres experts de ce site venir nous réexpliquer pourquoi Easyjet était morte dans tous les cas avec le brexit. Merci pour leurs interventions précieuses.

   Répondre

   1. Quand même, a commenté :

      20 juillet 2017 - 13 h 33 min
      

      Une incertitude demeure malgré tout dont il n’est pas possible à ce stade de lever le doute:
      Post Brexit donc, EasyJet -UK appartenant à EasyJet Plc, sera donc controlée par une entreprise à capitaux majoritairement européens ( post Brexit)…donc étrangers au Royaume-Uni….Si le R-U maintient en post-Brexit dans son droit national cet aspect du droit européen qui veut qu’aucune compagnie aérienne ne soit détenue à plus de 49% par des capitaux hors UE, alors EasyJet-UK -post Brexit ne répondra plus aux critères pour être considérée comme compagnie UK …et à partir de là deux options: soit Easyjet Plc devient actionnaire de Easy-UK à hauteur maxi de 49%, et cela signifie en perdre propriété et contrôle …soit Easyjet-UK perdra ses droits de traffic intra-UK et ceux entre UK et autres pays…
      Mais tout ceci dépendra de la position du gouvernement UK sur la propriété des entreprises aériennes britanniques par des capitaux étrangers…A noter cependant que , comme l’Europe ne changera pas ses propres règles, il serait surprenant que les Britanniques laissent aux Européens plus de liberté de propriété qu’ils n’en auront eux- mêmes en Europe…

      Répondre

      1. Pet a commenté :

         20 juillet 2017 - 17 h 31 min
         

         Ouh la la ! Que de complications!
         Un avocat à Luxembourg/Guernesey/Londres/Paris/Vienne fera l’affaire pour que EZY post brexitée, à capitaux Européens ( ben voyons..), crée une filiale de droit anglais, K anglais avec transfert de X zincs en capital.
         Cette histoire de Brexit n’existe que pour tailler ds les budgets, et accessoirement dopper le px du M2 ici ou là.
         Qques avocats en profiteront également et les médias qui auront un nouveau grain à moudre.
         Pour le reste, business as usual.

         Répondre

         1. Eh oui! a commenté :

            20 juillet 2017 - 19 h 59 min
            

            “Quand Même” tu es bien naïf, ou alors tu vis dans un drôle de monde. Quand un business tourne à 10 chiffres avec 9 de profit chaque année comme Easyjet, ce sont les textes qui finissent par s’adapter au business, et non l’inverse. C’est comme ça que fonctionne notre monde. Money first!
            Donc ne t’inquiéte pas pour Easyjet, tu peux dormir sur tes 2 oreilles.

            Répondre

3. Erik de Nice a commenté :

   20 juillet 2017 - 20 h 53 min
   

   Mieux que….JOON !!

   Répondre

4. Erik de Nice a commenté :

   20 juillet 2017 - 21 h 04 min
   

   Je me marre encore de lire quelques posts (pas très anciens) où certains naïfs fantasmaient toujours avec force details et autres explications fumeuses sur le fait que les compagnies britanniques (Easy-Jet en particulier) n’auraient plus jamais, cause Brexit, la possibilité de desservir des destinations domestiques en Europe mais uniquement au royaume uni. Elles n’allaient probablement pas réagir, d’après eux, se laisser couper les ailes comme ça, aussi facilement malgré (Easy Jet) un carnet de commandes de plus de 300 Airbus de la gamme 320’s.
   Limite, il devaient déjà se réjouir du retour du monopole au “code barre” et croire qu’ils ne se retrouveraient qu’en face de Volotea..
   Vous étiez sérieux là ??

   Répondre

   1. Pour Erik de Nice a commenté :

      21 juillet 2017 - 9 h 48 min
      

      Je suis de ceux qui ont effectivement poste quelques longues explications sur les sombres perspectives pour une EasyJet post-Brexit, devant l’impossibilité à venir pour elle de maintenir l’exploitation de tous ses marchés sans changement majeur , soit de sa part, soit des règles , et des difficiles choix à faire pour elle dans les mois à venir..
      Très sincèrement, je pense ne pas mettre trompe, et je pense aussi que la grande direction de Easy a eu la même lecture de la situation que moi: j’en veux pour preuve le simple fait de ce que vient d’effectuer EasyJet, qui n’aurait aucun sens s’il n’y avait pas cette montagne devant elle…Qui plus est, il y a du avoir en silence au fil des derniers mois quelques modifications de l’actionnariat de EasyJet Plc pour le rendre DEJA à capitaux ” majoritairement d’origine UE-post Brexit…
      Le management de Easy se devait de trouver une solution pérenne pour sauver la compagnie: il semblerait qu’elle l’ait trouvée, et c’est tant mieux et que ainsi EasyJet pourra continuer… Mais je pense à ce stade que le point soulevé plus haut par ” quand meme” n’est pas dénué de sens, et que de l’Easyjet globale d’aujourd’hui en créant cette partie autrichienne -donc Europeenne post-Brexit, a dans un même mouvement renverse la vapeur en sécurisant l’immense majorité du trafic, des revenus de Easy ( groupe), et en reportant l’incertitude sur la plus petite partie de leurs activités…mais sur cette partie la, l’incertitude effectivement demeure… Peut être , comme le suggère EH OUI à Quand même ce seront les textes qui changeront devant la réalité économique ( pourquoi pas apres tout…) , mais, une chose m’apparaît certaine: en l’état actuel des règles, le Groupe Easy ne pourra pas encore conserver tous ses droits , ceux du dedans et ceux du dehors l’UE… D’où la question ànnexe: où se fera le changement réglementaire?? L’UE pour sauver une Easy-UK qui ne représentera rien pour elle? Ou l’UK pour sauver une Easy-UK qui représente emplois image et revenus?
      Je rappelle que le probleme se posera aussi pour IAG légalement enregistrée à Madrid ( dans UE post-Brexit donc) mais majoritairement par une BA elle meme à capitaux aujourd’hui majoritairement hors UE-post Brexit..pour l’instant c’est silence radio de ce côté là, mais cela n’empêche pas le travail préparatoire dans l’ombre ..
      Par contre, je ne suis pas de ceux qui s’en chantaient de la situation pour le code barre, car ce n’était pour moi pas le point important du sujet.

      Répondre

      1. Bonne réponse! a commenté :

         21 juillet 2017 - 12 h 14 min
         

         +1.000

         Je valide!

         Répondre

5. G. Gecko a commenté :

   20 juillet 2017 - 21 h 20 min
   

   Tous les voyants sont au vert, les chiffres excellents et le Brexit “sous contrôle” et pourtant après cette annonce l’action perd…6% aujourd’hui. Suis vraiment pas fait pour la finance!!

   Répondre

6. Erik de Nice a commenté :

   21 juillet 2017 - 15 h 53 min
   

   IAG réglera également cette situation à n’en pas douter. Les sociétés brinatiques, à l’image des entreprises occidentales, sont mondialisées depuis longtemps et ce n’est pas un Brexit (non négocier à ce jour) qui va faire écrouler la City et ses traders. Les capitaux de ses entreprises sont répartis déjà un peu partout dans le monde (à l’image de beaucoup d’entreprises françaises de niveau mondial) et ce n’est assurément pas l’achat d’un “certificat de transport européen” qui endiguera cette logique ni leurs ambitions..

   Répondre