Ethiopian Airlines serait en négociation avec la compagnie aérienne congolaise Ecair en vue d’un partenariat, rapporte l’hebdomadaire Jeune Afrique.
S’il est encore trop tôt pour évoquer un rachat par Ethiopian, selon Ecair, un mémorandum d’entente a été signé « concernant la maintenance et la formation des équipages ». Ensuite, une prise de participation minoritaire ne serait pas à exclure.
Equatorial Congo Airlines (Ecair), créée en 2011 a cessé ses opérations en octobre 2016 en raison de dettes impayées qui lui ont cloué ses avions au sol (737, 757 et 767), et qui avaient comme principales destinations depuis Brazzaville Paris CDG, Dubaï, Cotonou, Douala, Libreville, Bamako, Dakar, Pointe-Noire...
Ethiopian Airlines n’en serait pas à une première participation dans une compagnie africaine puisqu’elle détient 40 % du capital de la compagnie togolaise Asky ou 49 % de Malawaian Airlines. La compagnie membre de Star Alliance depuis 2011 a réalisé 189 millions d’euros de bénéfice en 2016.
Inukshuk a commenté :
29 janvier 2017 - 17 h 20 min
Tout doucement, sans faire de bruit, ET tisse sa toile sur le continent africain. Ce que SAA ou KQ alors en position de le faire, n’ont jamais réussi. En tous cas seule une Cies aussi bien gérée que ET a une chance de remettre ECAir…d’équerre!
Malick a commenté :
30 janvier 2017 - 15 h 18 min
Comme la plupart des compagnies africaines ECAIR est est victime de la mal gouvernance. Trop de charges salariales dans un pays touché par la crise du pétrole. Quand ont voit plus loin que ses capacités, on se permet même de voler dans le continent avec des gros porteurs alors qu’on peine à remplir de petits avions régionaux ! Voilà le résultat : dettes non payées et rfetour à la cas départ!
Malick a commenté :
30 janvier 2017 - 15 h 22 min
retour à la case départ autant pour moi ! Certaines compagnies devraient revoir leur stratégie en tenant compte de la probabilité que d’autres pays lancent leur compagnie puisque tout le monde veut avoir son “pavillon national”. je plains Air cote d’ivoire quand Air Burkina, Air Mauritanie ou Asky prendront du volume et si la nouvelle compagnie sénégalaise annoncée prend les airs ! car en fait, il se partageront la même clientèle et gare à ceux qui auront surdimensionné leur flotte !
Olivier GATABANTOU MPOSSI a commenté :
30 janvier 2017 - 18 h 31 min
De toute les façon tout ce qui est nationale , je parle bien de tout ce qui est compagnie aérienne nationale est voué a l’échec en Afrique francophone car ils y’a plusieurs facteurs comme la crise économique , le cout du baril de pétrole ou même le franc CFA qui est sous le contrôle de la banque de france, qui influt dans la santé économique des cet entreprises, ou est passé Air gabon, gabon airlines, , cameroon airlines , lina congo, air sénérgal ou même air ivoire, alors que dans le même temps si vous regardé la géopolitique africaine vous vous rendrez compte que toute les grandes compagnies aériennes africaines sont situé en Afrique Anglophone comme Ethiopian Airlines, Kenya Airways ou même South African Airlines qui sont subventionné par leurs leurs gouvernement respectif lorsque cet entreprises sont en grave difficulté avec le soutien des ministères des transport et des banques centrales respectives .
Comment expliqué que le secteur privé en Afrique centrale semble marché et semble affiché une bonne santé financière malgré la crise économique et la chute des prix du baril du pétrole ? Certes il est vrai que il y’a eu des échec en Afrique francophone notamment chez nous au Congo Brazzaville avec la chute de la compagnie aérienne multinationale Air Afrique en 2002, puis la cessation d’activité la compagnie aérienne nationale Lina Congo après la guerre civile , puis il y’a eu la naissance de la compagnie aérienne qui se disait nationale ( je fait allusion d’Air Congo ) qui volait avec des embraer 120 et des Avro et enfin Il y’a eu la création de la morte née Air CÉMAC avant l’arrivé de ECAir Equatorial Congo Airlines que l’on nous a présenté comme étant la compagnie aérienne nationale congolaise de référence créer en 2011 alors que l’ancienne compagnie nationale Air Congo qui se disait en faillite vole toujours avec des Avions chinois de type MA60 et a des ARJ Chinois en commande auprès de COMAC Aerospace.
-Tout est une question de conjoncture car quand en analyse le marché congolais , en voit que il y’a des transporteur a risque et quelque transporteurs sérieux qui perdure malgré, les coup d’états, la crise économique, et la chute du prix du baril de pétrole dans un pays en crise depuis des années dans le ciel congolais, je fais notamment allusion à TAC Trans Air Congo filiale de groupe Bassam qui vole avec des 737classic et Next Gen, ou même à Equaflight et Equajet qui sont des filiales du groupe Regourd aviation .
Le problème de Equatorial Congo Airlines comme je l’ai toujours dit est un problème structurelle , la compagnie n’a pas d’avions et est obligé de loué des avions . il y’a d’abord la direction générale qui est inexpérimenté dans le secteur de l’aviation , un direction générale qui n’a jamais travaillé dans le monde de l’aérien et qui n’a jamais gérée une compagnie aérienne (ils ont découvert le métiers et voila le résultats), ensuite il y’a tout les soit disant consultant aéronautique qui sont que là que pour s’en mettrent plein les poche, et qui profite de la naîfté des congolais (comme toujours) .
Et enfin la compagnie qui survit avec des charge trop élevé (location d’avion avec équipage , maintenance et assurance auprès d’une autre compagnie), externalisation de toute les opération ou presque , au lieu d’internationalisé les compétence quitte à embauché des expatriés expérimenté dans le secteurs, “flotte vieillissante “, etc…. et enfin un gouvernement congolais incapable de subventionné une compagnie aérienne car tout les revenue du pétrole en été volé depuis des année (personnes ne sait ou va l’argent du pétrole).
résultat une entreprise dont le business plan établie sur 5ans avec lufthansa consulting prévoyait l’acquisition de 18 avions contrainte a arrêté ses activités car dans ce secteurs la direction générale (inexpérimenté de le secteurs de l’aerien) n’a pas encore compris qu’il faut être capable de subvenir au besoin de la compagnie et assuré tout les vols (maintenance, salaires, assurance, charge, etc..) pendant 3 mois sans touché au chiffre d’affaire . résultats l’assecna la cloue au sol pour dettes chronique .
En tout cas moi , je souhaite bon vent à EQUATORIAL CONGO AIRLINES tout en espérant que les erreur du passé leurs serviront de leçon , et que cette fois ci il vont faire les choses dans les règles de l’art , même si je reconnais que l’on peut s’attendre a tous dans la république bannière du congo brazzaville.
Boeing 727 TN AEB a commenté :
4 mars 2017 - 16 h 49 min
effectivement cette compagnie ecair nest pas exempte de reproches.elle aurait du se contenter de 4 destinations.brazzaville pointe noire paris et dubai.surtout qu elle avait un implant a kinshasa cetait largement suffisant.bon elle a fait le pitre en ouvrant dakar bamako cotonou libreville douala…oubliant lexistence de la forte concurrence annihilant les marges beneficiaires.dakar bamako il ya pres de 8 operateurs.cotonou pointe noire c’est pareil.saa exploite cette ligne en johannesbourg pointe noire cotonou.le prix est une fonction inverse de la quantite.quid des charges? oui il ya des fortes charges dans l’aviation civile et le poids croissant du leasing.exploiter un 767 entre brazzaville libreville et coo dont le cahier de charges est extremement lourd c’est commettre les memes erreurs qui avaient coute la vie a air afrique la ou un 737 ou meme un fokker 100 aurait sufffit.
mais il nest pas encore trop tard.elle peut renaitre et ns lesperons avec des nouvelles methodes de gestion.bon tac et equaflight sont un peu plus dynamiques. elles sont basees a pointe noire.il faudrait peut etre supprimer coo dla lib dakar bamako et ne se contenter que de dubai et paris.il faut renforcer le partenariat avec privatair surtout dans l’exploitation des vols vacances en paris pointe noire …c’est autant vrai que linexperience de mme fatima est un point a prendre en compte dans la gestion financiere de la compagnie.elle ne suivait pas le cumul du passif d’exploitation. en principe quand l’asecna avait brandit “l’exception d’inexecution” concretement ‘je ne t’assiste plus puisque tu me dois de l’argent,ou si tu me paies j’assiste tes avions’ bon la je l’exprime en treme simple- je l’espere que l’asecna avait envoye des mises en demeure aupres d’ecair toutes demeurees infructueuses.jespere qu elle ne doit pas autres fournisseurs des services de la circulation aerienne(algerie france rdc…)
attendons le partenariat avec ethiopian qui dessert en dreamliner pointe noire .
Olivier GATABANTOU MPOSSI a commenté :
11 mars 2017 - 16 h 10 min
Boeing 727 TN-AEB, tu sais , au congo brazzaville tout est possible , encore faut t’il avoir les bonnes personnes au bon moment.
ECAir a été créér en 2011 sous décret présidentiel car l’états congolais avait pour ambition de faire de brazzaville un hub en afrique centrale , mais ils ne se sont pas pris de la meilleur des façon pour que notre belle oiseau rayonne dans le monde et surtout perdure comme c’est le cas pour les compagnies aérienne d’Afrique anglophone ou du maghreb.
je lisais récemment le rapport d’audit de la compagnie ECAir qui est ici : http://zenga-mambu.com/2017/03/09/rapport-daudit-de-la-societe-ecair-le-vol-a-haute-voltige/ certe ce rapport ne prends tout en compte comme le fait que la Banque des états d’Afrique centrale est injecté de l’argent dans équatorial congo airlines et qu’on t’il fait de cet argent, etc…..
mais quand en voit qu’un certain monsieur okemba roland est touché plus de 300.000euros de prime soit 216.160.248Franc CFA en 2014 alors meme que l’entreprise n’était pas rentable et que vu la taille de l’entreprise je trouve inadmissible de touché de telle prime car ECAir est une petite entreprise et non une grande compagnie, ou même que l’entreprise est versé prêt de 336.035.333Franc CFA soit plus de 456.000euros au directeur général adjoint monsieur Johan MAerten qui est un consultant de COEM , en voit bien toute cet charge alourdisse ECAir . cet argent aurait pu servir a financé la check C d’un des B737….
de plus quand en regarde l’entreprise en s’aperçoit que l’entreprise dépense plus qu’elle ne gagne. l’entreprise aurait du internaliser les compétence au lieu de faire appel à tout ses consultants. Vous n’allez pas me dire que sur 4,5 millions de congolais il n’existe aucun congolais dans le monde ayant occupé un poste a responsabilité dans une compagnie et qui est apte a prendre la direction de cette entreprise.
Autre point l’entreprise loue tous ses avions auprès de privatair , chez Il existe en aviation des organisme qui pourrait financé la flotte de équatorial congo airlines comme aercap , ils et j’en passe et loué ses avions à ECAir .
Par exemple la ligne brazza-paris represente 500.000pax minimum. moyenant une caution , ECAir aurait pu loué avec option achat un A350 chez ILFC le mettre sur la ligne paris brazzaville tout en immatriculant cet avion en europe et pour échappé a la liste noire, comme le faisait air gabon avec son 747 l’immatriculer en france mais internalisé les compétence en embauchant des PNT et équipage titulaire de licence jar embauché par la compagnie , après tout , toute compagnie est libre d’immatriculé ses avions ou bon elle le souhaite , sur le court terme c’est pas chère mais ça represente le double sur le long terme . au bout de 12 ans l’avion est amortie et elle fait la même chose pour les autres lignes.
– Espérant comme tu le dis que Ethiopian va apporté son expertise . après tout si avec Asky ça marche pourquoi pas avec ECAir.
(Désolé pour les fautes, j’écris avec une tablette)