Au printemps prochain, la compagnie aérienne British Airways reliera en 787-8 Dreamliner Londres à l’aéroport international Louis Armstrong de La Nouvelle-Orléans.
A partir du 26 mars 2017, British Airways desservira La Nouvelle-Orléans à raison de quatre vols par semaine. Les vols de dix heures, programmés chaque lundi, mercredi, vendredi et samedi, partiront à 15h40 de Londres Heathrow, arriveront à l'aéroport de Nouvelle-Orléans Louis Armstrong à 19h40, pour des retours programmés à 21h10 et des arrivées à Londres à midi le lendemain. Les 787-8 déployés sont configurés pour accueillir 214 passagers (154 en classe Economie, 25 en Premium Economie et 35 en classe Affaires). Les billets aller-retour entre Londres et La Nouvelle Orléans seront disponibles à partir de £599 (671 €) TTC en World Traveller (classe économie), à partir de £899 (1007 €) TTC en World Traveller Plus (classe économie Premium) et à partir de £1749 (1958 €) TTC en Club World (classe affaires).
BA devient ainsi la seule à opérer des vols directs entre l’Europe et la ville de Louisiane, mais pour peu de temps car la compagnie allemande Condor y prévoit d’ouvrir une ligne saisonnière, depuis Francfort à partir du 3 mai 2017. British Airways était aussi la dernière compagnie reliant la Nouvelle-Orléans à l’Europe jusqu’en 1982, mais elle se servait alors de cette ville comme escale de ravitaillement sur la route entre Londres et Mexico.
Le transporteur aérien britannique propose également des vols directs au départ de son hub de Heathrow vers plus d'une dizaine de villes américaines, y compris Miami, Atlanta, Houston, Austin et Dallas.
« Nous sommes ravis d’ajouter la Nouvelle-Orléans au vaste réseau mondial de British Airways. C’est une ville qui offre une scène musicale et artistique exceptionnelle avec plus de 45 festivals internationaux chaque année, comme le mondialement célèbre Mardi Gras, a commenté dans un communiqué de presse Elisabeth Ruff, Directrice commerciale France de British Airways. Les vacanciers pourront profiter de la musique jazz et blues, visiter les plantations historiques de canne à sucre, faire une croisière pour descendre le Mississippi, ou se détendre sur les superbes plages de Gulf Shores et de Orange Beach qui sont facilement accessibles en voiture. Chaque année, la Louisiane et la Nouvelle-Orléans accueillent plus de 80 000 visiteurs et nous sommes certains que cette route rencontrera un grand succès auprès des touristes et des voyageurs d’affaires français ».
werner a commenté :
22 octobre 2016 - 9 h 26 min
Condor volera sur cette route deux fois par semaine le mercredi et le dimanche.
YYZTFFR a commenté :
22 octobre 2016 - 9 h 31 min
Et comme d’habitude aucun transporteur français. La dernière phrase du communiqué de British Airways en dit long (nous sommes certains que cette route rencontrera un grand succès auprès des touristes et des voyageurs d’affaires français). En 2018, c’est le 300 birthday de la ville peut être que la France se souviendra de son ex colonie francophone.
Anto95 a commenté :
22 octobre 2016 - 11 h 15 min
En même temps c’est la directrice de BA France, elle ne va pas parler du grand succès auprès des grecs ou polonais…
Point d'histoire... a commenté :
23 octobre 2016 - 18 h 12 min
La Nouvelle Orleans etait jadis une des escales américaines de British Caledonian,depuis sa base de Londres-Gatwick, comme St Louis, Menphis et d’autres .British Airways ayant racheté B. Cal. ( c’était le petit nom de British Caledonian) s’est empressé de fermer cette destination…
STW GALLEY Y a commenté :
23 octobre 2016 - 19 h 51 min
Empressé empressé… comme vous y allez fort ! Sûrement ne travaillez-vous pas ds l’aérien ou alors un manque de culture ?!?…
Les réponses sont ds l’article… Hub d’Atlanta… Rachat de la Cie (rationalisation du réseau, et donc Hub d’Atlanta… Ancienne escale technique pour MEX (nouveau type avion sur la ligne MEX en direct ?!?).
Au lieu d’apporter une mauvais commentaire, posez vous les bonnes questions…
STW GALLEY Y est toujours dispo en queue de l’appareil pour des conseils en stratégie d’entreprise du transport aérien… Le problème c’est les patrons ont du mal à franchir le rideau de là Business (Cf le syndrome de la brique de lait de Bruno Le Maire…) !