Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Airshow China : Comac annonce une commande de 30 C919
Publié le 11 novembre 2014 à 16h15 par Alain Nguyen
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Pierreantoine a commenté :
11 novembre 2014 - 16 h 30 min
Rien de tel que le système communiste: une main lave l’autre.
Les investissements, créations et fermetures d’entreprises nécessitant l’aval de l’Etat, l’achat d’avions, trains, y compris les slots sont décidés par de joyeux apparatchiks. Les 30 “fleurons”(!) ont donc été commandés sans qu’un concurrent mette son nez ds l’affaire. Brillant succès et longs vols !
Crj1000 a commenté :
11 novembre 2014 - 17 h 31 min
Je tiens a préciser que L’ARJ21 est un avion déjà largement dépassé puisque conçu sur le modèle du MD-80.. Il n’y a que des compagnies chinoises qui pourrais acheter de tel avions aussi peu rentables..
czl a commenté :
11 novembre 2014 - 20 h 50 min
La République du Congo a passé commande de 3 ARJ21
J'me marre a commenté :
12 novembre 2014 - 9 h 09 min
Ah ben alors!!! Si la République du Congo a passé commande de 3 ( trois) ARJ 21, alors compte tenu de son rôle reconnu de leader sur le marché aéronautique mondial,il faut bien reconnaître qu’il n’y a plus qu’à s’incliner!!!!
Messieurs,chapeaux bas svp…….
Vincent a commenté :
11 novembre 2014 - 17 h 33 min
Les ambitions de COMAC sont gigantesques, car cet avionneur destine ces appareils futurs à l’export, et non au seul marché intérieur.
En recrutant des ingénieurs occidentaux, en pillant la technologie de la concurrence, ils devraient arriver à leurs fins.
Sauf que :
– Pour vendre à l’export, COMAC devra se plier à la législation internationale, notamment en matière de propriété industrielle : cela risque d’être sportif.
– COMAC recule sans cesse la livraison de son 1er appareil, l’ARJ21, qui leur cause décidemment beaucoup de soucis, retardant d’autant les autre programmes.
– COMAC dépend encore totalement (pour combien de temps ? ) du motoriste franco-américain CFM .
Enfin, Alain LEBAS précise : “Reste à convaincre les compagnies aériennes étrangères à opérer des avions de ligne « made in China ».” J’ajouterais, reste aussi à convaincre les passagers de monter dans un appareil “made in China” !
Bencello a commenté :
12 novembre 2014 - 0 h 32 min
Vous oubliez également les points suivants:
– les ingénieurs chinois sont de moins en moins bon marche
– Airbus et Boeing inondent littéralement le marché avec des cadences de production phénoménales qui abaissent d’autant les coûts de revient de chaque appareil
– les chinois sont totalement dépendants des motoristes occidentaux (qui fournissent tous déjà Airbus et Boeing.
Erik de Nice a commenté :
11 novembre 2014 - 20 h 23 min
Convaincre les pax de monter dans un avion “Made un China” ne devrait pas rester éternellement un problème.
Le Marché africain dans son ensemble pourrait d’avantage se satisfaire d’un C919 de d’un avion à hélices de l’ère Soviétique des années 60’s. Mais ce marché est visiblement en pleine expansion. Tout le Marché d’Asie Centrale et un bonne partie du Marché du Sous Continent Indien ne trouverait rien à redire en embarquant à bord d’un C919. C’est un Marché également en pleine expansion.
Enfin, une bonne partie du Marché Asiatique en général et Chinois en particulier embarqueront sans problème à bord d’un C919. Ça commence à faire du monde…
Le problème de ces “nouveaux entrants” dans le petit monde des Constructeurs Aéronautiques reste la crédibilité sur le marché mondial, mais il y a fort à parier qu’il y arriveront à terme…
Boeing et Airbus ont encore de beaux jours devant eux….pour l’instant.
CAMAIR a commenté :
11 novembre 2014 - 23 h 17 min
+10
christophe a commenté :
12 novembre 2014 - 8 h 12 min
Ces avions seront facilement casables en Afrique dans la mesure où la chine est en train d’acheter l’Afrique…
J'me marre a commenté :
12 novembre 2014 - 15 h 32 min
“caSables” ou “cassables”?????
Vincent a commenté :
12 novembre 2014 - 16 h 47 min
@ CHRISTOPHE
Acheter ? Plutôt piller l’Afrique !
Les Chinois ne sont pas en Afrique pour s’installer et construire des ports, des routes, des chemins de fer, des hôpitaux et des écoles à l’œil, ils sont là juste le temps nécessaire de piller le sous-sol et trouver qui corrompre.
D’ailleurs, les relations entre Africains et détachés Chinois sont souvent très tendues, ces derniers ne souhaitant pas s’intégrer et vivant en totale autarcie, tout en important du Made in China, tuant ainsi l’artisanat local (très frappant au Sénégal, notamment).
@ J’ME MARRE
Voler dans certain pays africains (pas tous heureusement, mais prenons la RDC, par exemple), demande une bonne dose de courage, ou plutôt d’inconscience. Preuve en est qu’à la fin des années 80 et au début des années 90, en pleine crise, lorsque les pilotes se retrouvaient en masse sur le marché de l’emploi français, rares étaient ceux se bousculant pour aller y travailler, laissant bien volontiers leur place aux russes !
Appareils à l’historique douteux et à l’entretien très approximatif (lorsqu’ils sont entretenus), infrastructures aéroportuaires sommaires, radionavigations inactives, voire inexistantes, sont le lot quotidien des pilotes œuvrant dans ces contrées.
@ ERIK DE NICE
La plupart des pays africains préfèreront sans doute encore longtemps les appareils de conception occidentale ; quant aux autres, voler sur un appareil chinois, fut-il neuf, ne changera hélas pas grand chose à leurs conditions de travail (d’autant qu’ils leur manquera toujours les moyens de la maintenance).
Néanmoins, je vous rejoins sur ce point : “Boeing et Airbus ont encore de beaux jours devant eux….pour l’instant.” Il est plus que probable qu’un jour, les Chinois concevront des appareils compétitifs, sans oublier les Indiens, qui ont un énorme potentiel (cf. leur compétences en aérospatiale).