Comparé à 2013, Brussels Airlines a accueilli cette année entre janvier et août 500.000 passagers en plus à bord de ses vols. Le vendredi 19 septembre constitue, avec 24.287 passagers, une journée record pour la compagnie belge. Après une saison estivale positive, Brussels Airlines, compagnie belge filiale de l'allemande Lufthansa, fait un point sur son trafic passagers :  "La stratégie commerciale introduite au début de cette année par Brussels Airlines attire semaine après semaine davantage de passagers. Comparé à la même période de l’année précédente (janvier-août), Brussels Airlines a augmenté de 500.000 le nombre de ses passagers. Au cours du dernier mois d’août et comparé au mois d’août 2013, 19,1% de passagers supplémentaires ont choisi Brussels Airlines pour leur vol. Le taux d'occupation de la compagnie s’est situé pour la première fois en 12 ans de son histoire à 81,5%", indique la compagnie aérienne dans un communiqué. En 2013, 5,87 millions de passagers ont voyagé avec Brussels Airlines, en augmentation de 2 % comparé à 2012. La croissance du nombre de passagers se fait principalement sur le réseau européen et est "le résultat de la politique de prix attractifs, de l'expansion de l'offre... et la focalisation sur les nouvelles destinations d’été", explique Brussels Airlines. Avec ses nouvelles formules de produits Check&Go, Light&Relax, Fast&Flex et Bizz&Class lancées depuis la rentrée, Brussels Airlines peut offrir davantage de choix et compte atteindre un public encore plus large. Par ailleurs, la compagnie belge maintient ses vols vers le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée, malgré la progression de l'épidémie de la fièvre Ebola dans ces pays. "Il en va d'un intérêt humanitaire car la société transporte notamment des médicaments et des médecins vers ces pays touchés par le virus Ebola", a indiqué hier un porte-parole de la compagnie. Et d'assurer les clients : "On prend la température des voyageurs avant le check-in. Ceux qui ont de la fièvre sont systématiquement refusés, même s'il s'agit de malaria. Nous préférons prévenir que guérir."