Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Paris – Tarbes-Lourdes : HOP! resigne pour quatre ans
Publié le 23 avril 2014 à 07h30 par François Duclos
©V_Valdois
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Capitaine93 a commenté :
23 avril 2014 - 8 h 06 min
Doit on plutôt dire : ” 4 ans encore de subventions ” ?
rantanplan a commenté :
23 avril 2014 - 8 h 24 min
L’Aéroport de Tarbes/Lourdes a toutes chances de se développer: Outre le coté touristico-religieux estival (Lourdes possède le 1er parc hôtelier de France après Paris), il existe un très bon potentiel dans le tourisme hivernal lié aux nombreuses stations de ski très proches. En plus, la gestion “imbécile” (pour l’instant) de l’aéroport voisin de Pau et le défaut de rapprochement des 2 structures distantes de 40km seulement (…) ne peut qu’aller dans ce sens.
André D a commenté :
23 avril 2014 - 8 h 53 min
Le comminges (qui est dans le 31) ne va pas prendre l’avion à Tarbes mais à TLS. Idem pour les 3/4 du Gers.
Si les Tarbais n’allait pas prendre l’avion à Pau, l’aéroport de Tarbes se porterait mieux. Heureusement qu’il y a Lourdes et ses pèlerins .
Volauvent a commenté :
23 avril 2014 - 8 h 55 min
Et quel avenir pour l’aéroport de Pau ? Une fusion des deux aéroports (I million de passagers en commun) amènerait les nécessaires économies de dépenses publiques qu’on hésite encore à faire. Prendre une navette routière ou ferroviaire (distance entre les deux ville : 45 kms), n’est pas si humiliant. L’exemple à suivre par nos innombrables aéroports régionaux ?
André D a commenté :
23 avril 2014 - 9 h 45 min
Tout a fait d accord , vol-au-vent. Il y a des mentalités à changer, regardez l’autoroute très privé entre Pau et Bordeaux, le plus cher et le plus désert d’Europe.
AZ 60 a commenté :
23 avril 2014 - 10 h 05 min
Miam,miam… Y’a bon les subventions baptisées de la douce expression bureaucratique d’Obligation de Service Public. HOP se goinfre tout en pratiquant des tarifs élevés. Pourqu’oi pas … Mais dans ce cas, il faut se garder d’aboyer comme des roquets après Ryanair qui pratique des tarifs plus attractifs et fait bénéficier ses pax de conditions avantageuses. Cordialement
Volauvent a commenté :
23 avril 2014 - 12 h 00 min
Ah, Ryanair ! Avec nos 35 millions d’aides publiques par an, ce qu’on appelle en France, avec admiration, “un modèle économique”.
CREW a commenté :
23 avril 2014 - 16 h 23 min
@AZ 60 :
Ca faisait longtemps… Tout le monde sait, que cela vous plaise ou pas que Ryanair profite largement des subventions.
Et quant aux aboiements de roquets, après vos larmes de crocodile et votre comportement de perruche effarouchée, au final, c’est le zoo de Vincennes votre commentaire !!!
Roman a commenté :
23 avril 2014 - 12 h 12 min
Une contribution d’argent public à hauteur de plus de 50euros par passager embarquant, de quoi réduire le pouvoir de négociation des low-cost a de l’amateurisme 🙂
Ou alors s’agit-il encore d’une connivence purement franco-hexagonale, des petits arrangements entre amis, camarades de promotion ou de parti, voir de partage d’un plus ou moins complexe système de rétro-commissions.
Quand on connait les coûts d’opérations de l’aviation régionale française face à ses concurrents européens, quel que soit le pays, on se dit que les résultats des appels d’offre sous l’égide de l’OSP est une belle arnaque qui ne profite définitivement pas à ceux qui en ont réellement besoin, les clients.
CREW a commenté :
23 avril 2014 - 16 h 24 min
@ ROMAN : Hoouuuu.. le vilain complot que vous dénoncez là… Heureusement que des esprits éclairés comme le votre nous font part de votre savoir, votre analyse et votre expertise… (non je déconne…)
Tarmac a commenté :
23 avril 2014 - 13 h 40 min
Pour ce Tarbes-Paris, espérons mieux que Bergerac-Périgueux-Paris et ses 14.392 passagers annuels (dont Bergerac-Périgueux : 1.853 passagers et un taux de remplissage de 13%). Ligne maintenue grâce à une nouvelle aide de 120.000 euros par an sur deux ans. Twin Jet réclamait une rallonge de 360.000 euros aux collectivités qui apportent déjà avec l’Etat 570.000 euros pour équilibrer cette “ligne O.S.P.” pour nos sénateurs, députés, conseillers, et élus locaux, départementaux et régionaux de tout poil. Qui voyagent à nos frais, bien sûr.