Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Publié le 27 mars 2014 à 11h00 par François Duclos
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gordon24 a commenté :
27 mars 2014 - 11 h 16 min
Hum, comment se fait il qu’on s’apercoit du probleme en cours de vol???
Ce n’est pas dans un NOTAM quelconque?
Est ce un probleme de gestion chez AF ou une organisation calamiteuse chez les russes?
Jean-Yves B. a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 42 min
Organisation de préparation de plan de vol partout calamiteuse, le PN responsable de la lecture de 3 tonnes de Notam dans une durée de prépa de vol raccourcie, bientôt un tir de missile (?), on sortira les mouchoirs mais on n’embauchera personne ni mettra un système informatique dans ce sens, vous n’y pensez pas, la solution c’est dégager un max de monde (les directeurs sont responsables et la Cie …). Allez le passager peut payer, et se prendre 1h30 pour faire un plein et se prendre un créneau, comique quand on veut se vanter d’avoir un bel avion et d’être les meilleurs, çà durera pas. Grandeur et décadence, quand Hollande se bat contre le chômage; vive l’argent roi.
Aulongcourt a commenté :
27 mars 2014 - 11 h 21 min
Avant que des post rageurs quant au manque de prévisions de l’équipage pour la quantité de carburant n’apparaissent ici je tiens a signaler pour détendre l’atmosphère que L’on est en droit de penser que tout cela était prévu avant même le décollage de Shanghai:en effet, le tir d’une fusée et la fermeture de l’espace aérien associé pour une question de sécurité ne sont pas des choses qui se décident a la dernière minute: au contraire!!!Tout est donc annoncé largement en avance a tous les acteurs concernes……
Il faut donc croire que compte tenu de sa charge et des conditions meteo du jour ( vents surtout) l’A380 a atteint la limite de son rayon d’action commercial( toutes réserves réglementaire comprises) sur ce très long vol qu’est Shanghai-Paris ( dans ce sens la surtout) et ne pouvait pas EN PLUS faire “le tour du Kazakhstan”…
La gestion des choses au quotidien,quoi!!!
Sylvie S. a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 18 min
“La gestion des choses au quotidien,quoi!!!”
Tout à fait exact !
G22 a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 52 min
Voir un vol en ETF compte tenu du détour.
Mamadinho a commenté :
27 mars 2014 - 13 h 21 min
L’A380 n’a pas atteint la limite de son rayon d’action commercial sur un Shangai-Paris (peu importe les conditions de charge ou les conditions météo). Son rayon d’action est de 15 000 Km alors qu’il doit y en avoir environ 9 500 entre Shanghai et Paris. L’avion n’a tout simplement pas décollé les réservoirs plein mais avec le necessaire pour faire le trajet plus une marge de sécurité d’environ une heure.
Marc a commenté :
27 mars 2014 - 11 h 22 min
Le décollage de Baïkonour ne doit probablement pas être une surprise: il doit être annoncé depuis un moment et AF aurait dû prévoir un emport de carburant suffisant pour un détour. De plus, on lit qu’Air France doit voler 40 minutes de plus (2h10 – 90 minutes d’escale à Hamburg) et tombe à court de carburant … alors qu’on a critiqué les vols de Ryanair en Espagne qui eux avaient assumé quasi une heure de plus sans souci ! Et eux pour une raison imprévue au décollage comme c’étaient de gros orages à l’aéroport d’arrivée, contrairement à un événement prévisible du décollage d’une fusée de Baikonour pour Air France ! L’enquête ouverte contre Ryanair avait montré que la compagnie avait, elle, emporté assez de carburant, … et même ici en comparant avec Air France, Ryanair avait emporté bien plus de carburant !!! Espérons qu’il n’y aura pas 2 poids, 2 mesures et qu’une enquête va être ouverte sur ce vol Air France ! D’autant qu’il y avait déjà eu, il y a une bonne année je pense, l’incident du vol de Beyrouth aussi avec un emport insuffisant … sans ouverture de la moindre enquête ! Au moment des critiques de Ryanair, on avait parlé d’un minimum d’emport de 45 minutes de carburant, quelque soit le type d’appareil, visiblement pas respecté par Air France ! Eh oui, les 40 minutes de vol de plus effectuées finalement sur le plan initial comportent une descente et une montée de l’aéroport d’escale d’Hamburg et donc sans cela, le temps de vol supplémentaire aurait probablement été de seulement une trentaine de minutes ! Et en plus un A380 ne peut pas se poser sur n’importe quelle piste, contrairement à un B737: la sagesse voudrait, en ce cas, d’emporter une réserve plus conséquente en temps de vol que pour un B737, mais cela n’a pas été fait visiblement.
Sylvie S. a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 16 min
Que sont 3 Heures de retard au regard d’ une éventuelle catastrophe évitée ?
Jean-Yves B. a commenté :
27 mars 2014 - 13 h 30 min
D’expérience Plan de Vol, peux vous dire que cela se prépare, lecture du Notam, ou on passe avant ou après, pas pendant. La quantité de carburant: avion très large en emport, pas de grand pbm sans doute pour contourner. Mais si atterrissage obligé, coûts très importants en TAXES+KERO, bénef du vol anéanti. Ne pas travailler certaines questions coûte des K Eur, plus d’un emploi-an… Après si ce travail avait été effectué et problème connu: Retarder le vol (?), pbm du respect des horaires et de dispo machine après, eh bien le retard coûtera peut-être plus au final ! On veut pas modifier la route ou on peut pas, si…: Modifier légèrement la route (routes en nombre restreint sur cette zone cependant) et partir On Time et se prendre -moins- de retard ? Un mauvais traitement ou un travail global non effectué en fait, qui coûte cher et ennuie tous les passagers et tous les aéroports et des centaines de personnes…, bravo ! Les fautifs seront punis mais c’est chronique et toujours les mêmes qui payent pour ne pas avoir vu ou pu (temps de prépa réduit, Notam au Kg, agent de prépa surchargé), mais au lieu de compresser comprimer réduire, développer un service d’études de Notam serait sur le temps un facteur de Qualité. (Aux bons ingénieurs de sortir les bons systèmes ? “C’est déjà en place, Y a qu’à, fallait…”, mon œil, comme la lecture différée des Rapports de vol qui s’entassent !). A mon humble avis / Chômeur expérimenté MDR aussi. Le doute m’habite.
Capitaine93 a commenté :
27 mars 2014 - 11 h 24 min
L’espace aérien Kazakh était fermé.
François, le plein pour du Hambourg-Paris?
LaDindonne a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 11 min
Bravo, tu devrais aller diriger Air France !
Gégérard a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 01 min
Il ne faut pas tout mélanger. Le vol d’Air France ne s’est pas posé dans sa réserve réglementaire contrairement au vol RYR.
Ensuite, je ne ferai pas de conclusion trop rapide quant au manque de compétence des uns et des autres.. Le cas a été géré et maitrisé puisque le vol est arrivé à CDG en retard, certes, mais en entier et sans incident!
chief pilot a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 10 min
Bon comparer la gestion d’un vol Ryanair qui dure en moyenne 2 h max au dessus de l’Europe ,avec un Shangai Paris…(on a beau programmer et prévoir, météo etc…)il ya davantage d’imprévus a gérer mais parfois il arrive que l’on prenne davantage de carburant pour des raisons économiques et c’est la compagnie qui le programme et passe la consigne avant le décollage au commandant de bord ,si par ex on paye moins cher en dollars a LAX , on arrive avec plus de kéro que prévu sur CDG… bon bref on va pas rentrer dans les détails des affaires internes a chaque compagnie….
Sylvie S. a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 14 min
Je ne vois pas en quoi le fait de respecter des procédures, mérite un article, sauf à vouloir insinuer une insécurité des vols.
Le Cdb n’a fait qu’appliquer la réglementation.
Jean-Yves B. a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 35 min
Les agents font les plans de vol sans lire les NOTAM, pas le temps non plus, pas de système informatique (?), résultat médiocre, …, enfin tant qu’il ne s’agit pas de tir de missile ! Pffffffffffff
Nemo a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 52 min
POUR INFORMATION : L’A380 avait assez de carburant pour rallier Paris CDG mais pas assez pour rallier ce dernier en respectant le minimum imposé de 30 min de carburant supplémentaires.
BOARF a commenté :
27 mars 2014 - 12 h 54 min
J’ai lu un article sur le sujet dans un autre média, et il était indiqué que l’appareil avait suffisament de carburant pour continuer sur CDG mais par mesure de précaution la décision de se poser à Hambourg a été prise.
Variez vos sources avant de vous braquer.
Franck DELAWARE a commenté :
27 mars 2014 - 13 h 21 min
@marc: “contrairement à un événement prévisible du décollage d’une fusée de Baikonour pour Air France”. Bonjour, comment savez-vous que cela était prévisible? C’est vrai que ce serait logique, mais nous subissons parfois des fermetures d’espaces aériens sans préavis. Je n’ai pas compris la logique de votre raisonnement sur le carburant. Ce que je peux vous dire, c’est que les pilotes choisissent une quantité de carburant qui permet de faire le vol dans les conditions prévisibles (route, météo, espaces aériens…), avec une réserve de route de 3 ou 5% du délestage (selon les vols), qui permet de couvrir les aléas. En revanche, si la quantité de carburant consommée lors de l’écart de route (par rapport à la route initialement prévue) dépasse cette réserve de 3 ou 5%, il est possible qu’un avion n’ait plus les réserves suffisantes pour se poser à destination. La décision de se dérouter pour faire un complément de plein est donc liée à une question de sécurité mais aussi de respect de la réglementation. Ne polémiquons pas sur ce genre de décision… Il est bien sûr possible que ce déroutement soit la conséquence d’une erreur (compagnie, pilotes, service de préparation des vols. ATC, état Russe, etc…). Puis-je juste vous demander par curiosité votre rapport avec l’aviation (amateur, passionné, passager, professionnel, intéressé …)?