La compagnie aérienne Air Caraïbes propose désormais des vols jusqu’à Nassau aux Bahamas au départ de Paris, via un accord interligne signé avec Bahamasair.
La compagnie antillaise spécialiste des Caraïbes a annoncé le 18 octobre 2018 avoir signé un accord interligne avec le transporteur basé à l’aéroport de Nassau-Lynden Pindling. Ce qui lui permet de proposer au départ de Paris-Orly des vols vers la capitale des Bahamas, soit via San Salvador dans la même île soit via La Havane à Cuba – deux destinations présentes dans son propre réseau. Aucune compagnie française ne dessert Nassau, la seule européenne présente étant British Airways ; Air Caraïbes confirme ainsi sa volonté « d’enrichir son offre de destinations sur son réseau transatlantique et de rayonner dans l’arc caribéen » ; elle propose à ses clients de rejoindre la capitale des Bahamas à partir de 686 €* TTC A/R par personne
Dans le détail, Air Caraïbes propose en partenariat avec Bahamasair un vol tous les jeudis jeudi entre Orly et Nassau, « appuyé sur la desserte de San Salvador aux Bahamas lancée dans le cadre de son partenariat avec le Club Med ». Dans un premier temps, les passagers au départ de Paris, emprunteront un vol transatlantique à destination de San Salvador opéré par Air Caraïbes en Airbus A330. Ce vol direct à l’aller, comprendra au retour une escale à Punta Cana. La deuxième partie du trajet entre les îles de San Salvador et de Nassau, est quant à elle opérée par Bahamasair à bord d’un ATR (42-600 ou 72-600). Par ailleurs, jusqu’à trois rotations hebdomadaires entre La Havane et Nassau sont proposées par Bahamasair, en partenariat avec Air Caraïbes ; les clients de cette dernière pourront « combiner leur séjour à Nassau avec une visite de Cuba » puis rejoindre directement Paris au départ de La Havane.
Edmond Richard, Directeur Commercial Europe d’Air Caraïbes, a déclaré : « Notre collaboration étroite avec l’Office du Tourisme des Bahamas et Bahamasair nous a permis de développer les échanges entre nos deux pays et d’étendre notre réseau au sein des Caraïbes. Avec cette nouvelle destination, nous remplissons notre promesse de renforcer l’attrait de l’archipel auprès de l’ensemble des voyageurs, en ligne avec nos objectifs de développement ambitieux pour la compagnie en 2018 et 2019 ». Karin Mallet Gauthier, Directrice de l’Office de Tourisme des Bahamas, précise : « Nous sommes heureux qu’une compagnie aérienne française reconnue telle qu’Air Caraïbes enrichisse son offre sur les Bahamas. Cet accord participe à faire découvrir au plus grand nombre les charmes de notre archipel grâce à une offre sécurisée et flexible. Notre partenariat contribue au renforcement des liens commerciaux et culturels tissés entre notre archipel et la France. »
L’accord interligne permet aux passagers de disposer « d’une grande simplicité dans la réservation et l’organisation de leur trajet », souligne Air Caraïbes : un passager au départ de Paris-Orly pourra ainsi se rendre à Nassau avec un seul billet, grâce à une correspondance et un transfert facilités à San Salvador ou à La Havane, et n’aura également qu’un seul interlocuteur en cas de modification souhaitée du voyage. Pour aller aux Bahamas, les passagers doivent disposer d’un passeport en cours de validité de plus de 6 mois après la date de retour.
(*Offre susceptible de modification sans préavis et soumise à conditions. Prix TTC A/R « à partir de » par personne voyageant en classe Soleil hors frais de service (en tarif Basic sans bagage en soute – avec 1 bagage cabine de 12 kg, serviette chaude d’accueil, apéritif, choix de repas chaud et boissons compris), applicable sous réserve de disponibilités, hors période de vacances scolaires. Offre modifiable selon conditions, non remboursable).
hunders a commenté :
18 octobre 2018 - 14 h 24 min
50 ans de retard ! les Bahamas c’était encore bien dans les années 70, aujourd’hui c’est une horreur, sauf quelques iles encore préservées comme Eleuthera.
Robespierre a commenté :
19 octobre 2018 - 8 h 10 min
Ben non justement. C’était mieux avant quand il y avait moins de touristes, Mais pour une compagnie aérienne, il vaut mieux que ceux ci soient nombreux. ? Dans ce cas précis, il vaut mieux avoir 50 ans de retard que 50 ans d’avance !