La compagnie aérienne SAS Scandinavian Airlines lancera fin octobre une nouvelle liaison entre Copenhague et Hong Kong, en remplacement de celle opérée au départ de Stockholm. Un nouveau Champagne fait son apparition à bord, signé Charles Heidsieck.
A partir du 28 octobre 2018, la compagnie scandinave proposera cinq vols par semaine entre sa base à Copenhague-Kastrup et l’aéroport de Hong Kong-Chek La Kok, opérés en Airbus A340-300 pouvant accueillir 42 passagers en classe Affaires, 28 en Premium et 164 en Economie. Les départs sont programmés tous les jours sauf lundi et mardi à 20h55 pour arriver le lendemain à 14h45, les vols retour décollant tous les jours sauf mardi et mercredi à 1h20 pour se poser à 6h20 (15 minutes plus tard le lundi). SAS Scandinavian Airlines sera en concurrence sur cette route avec Cathay Pacific.
La compagnie de Star Alliance précise dans son communiqué que ce vol au départ du Danemark remplace celui opéré jusque là à Stockholm-Arlanda : depuis le lancement de l’itinéraire il y a trois ans, SAS « a été confrontée à des défis en termes de rentabilité sur la liaison Stockholm – Hong Kong ». Cependant, « grâce à de nouveaux créneaus », elle pourra désormais proposer un horaire « plus attractif avec des vols de nuit à destination et en provenance de Hong Kong » – ce qui nécessite le déplacement de la ligne de la capitale suédoise vers la danoise. Les billets depuis Copenhague sont mis en vente aujourd’hui ; les passagers qui ont déjà réservé un vol au départ de Stockholm seront réaffectés via Copenhague vers Hong Kong.
« Nous sommes impatients de pouvoir offrir à nos clients un meilleur horaire avec des vols nocturnes attrayants vers et depuis Kastrup. De toute évidence, il est regrettable que nous déménagions de Stockholm, mais dans ce cas, Copenhague offre de meilleures opportunités à long terme qui nous permettront d’améliorer encore l’expérience client SAS », explique Karl Sandlund, EVP Commercial chez SAS. L’opportunité de prendre l’avion depuis Copenhague « offre de bonnes perspectives de marché à long terme, avec une large zone de chalandise et des avantages opérationnels », ajoute le dirigeant. SAS ayant une forte présence dans tous les principaux aéroports scandinaves, « il est important pour nous de revoir continuellement tous nos itinéraires afin de maximiser les avantages pour les passagers et notre rentabilité », conclut-il.
SAS Scandinavian Airlines annonce d’autre part l’arrivée de nouvelles boissons exclusives à bord de ses avions. Le partenariat avec le champagne Charles Hiedsieck Rosé Vintage signifie que ses passagers de classe Affaires « seront les seuls au monde à pouvoir goûter à un nouveau millésime, SAS remplaçant son Non-Vintage Brut par le millésime 2005 inédit, et toutes les bouteilles restantes du 2006 ». Selon le chef cuisinier de la compagnie aérienne Peter Lawrence, ce nouveau champagne a été choisi « car son profil de goût correspond parfaitement à notre cabine de classe affaires. Avec des notes fruitées et une dégustation de figues, de pignons et de brioche, avec une longue finale équilibrée, le nouveau Champagne élève notre offre au niveau supérieur. Offrant le millésime Rose inédit de 2005 et garantissant tous les stocks du millésime 2006, nous servons un Champagne exclusif à nos voyageurs ».
Dans le cadre d’une collaboration continue avec la brasserie danoise Mikkeller, SAS poursuit également l’introduction de ses premières bières exclusives, présentées il y a un an dans le concept «New Nordic Food & Beverage», avec une bière sans alcool. Servie sur toutes les routes SAS, la nouvelle bière sans alcool est brassée pour offrir un goût léger et fruité, où le houblon, la levure belge et les épices offrent une bière complexe et très potable, parfaite pour la saison estivale. Selon Peter Lawrence, SAS travaille continuellement à mettre à jour et à améliorer notre menu de boissons à bord, « et nous croyons que nous sommes en tête du marché avec notre offre. Depuis le lancement de notre nouveau concept de restauration à bord il y a un an, nous avons introduit plusieurs bières nouvelles et différentes, dont des bières exclusives de la brasserie danoise Mikkeller, mais nous avions l’impression qu’une bière sans alcool manquait dans notre sélection ». Il poursuit : « nos bières établissent une nouvelle norme pour les boissons servies à bord des vols. Beaucoup sont brassées et fermentées à l’aide de levure sauvage, et chacune est servie au sommet de leur saveur et de leur profil. SAS a travaillé avec Mikkeller pour développer jusqu’à présent 18 bières différentes et exclusives, un cocktail et une vodka et nous sommes impatients de poursuivre notre collaboration – six bières sont déjà en développement et seront prochainement disponibles exclusivement à bord de nos vols ».
JMARC - t-lfsp1@outlook.fr a commenté :
16 juin 2018 - 7 h 27 min
Bjr – comme je l’ai déjà écrit, étant un gueux parmi les gueux point d’avenir en première pour ce qui me concerne et point de Champagne rosé. Ceci dit, et ça n’engage que que moi car les goûts et les couleurs… faire la promotion du Champagne au travers du Champagne rosé me fait un peu sourire quand on sait comme est fait le Champagne rosé… Etant servi plutôt en apéritif, un bon brut Hiedsieck “blanc de blanc” me semble plus adapté mais bon… Je m’en retourne déguster un vulgaire petit crémant acheté 6,50 €…!
Expliquez-vous: cela m'intéresse. a commenté :
16 juin 2018 - 9 h 47 min
Et comment selon vous est fait le Champagne rosé?
Expliquez-vous: cela m’intéresse é savoir si vous avez de réelles connaissances sur la mise au point du Champagne Rosé, ou bien s’il s’agit uniquement de dire n’importe quoi…et à sous entendus négatifs de préférence…
dakota a commenté :
16 juin 2018 - 11 h 05 min
Le champagne rosé est un peu plus fruité au goût, certes, que le “blanc de blanc”, mais il existe de sublimes champagnes rosés et il n’est pas pertinent, a priori, d’établir un classement de qualité et de valeur entre brut et rosé (ou “oeil de perdrix”) : ce qui compte c’est la qualité de la vinification (cela devrait aller de soi). On peut, en revanche, considérer que le producteur a lui-même établi un “classement” avec ses millésimes (puisqu’a priori il a choisi certaines années plutôt que d’autres).