Ce vendredi 12 avril, Transavia France intègre dans sa flotte son deuxième A320neo.
Après son premier appareil A320neo immatriculé F-GNEO, c’est maintenant au tour de l’avion « F-HXSA » de rejoindre les rangs de la compagnie low-cost du Groupe Air France KLM. Le 10 janvier 2024, la livraison du 1er appareil A320neo F-GNEO marquait l’histoire de Transavia France. Aujourd’hui, la compagnie low-cost intègre son second Airbus A320neo. En effet, à la suite du vol d’acceptance le jeudi 28 mars 2024 dernier, la low-cost du groupe Air France KLM recoit officiellement ce vendredi 12 avril 2024 son deuxième aéronef Airbus matriculé F-HXSA.
Son premier vol commercial est prévu le 22 avril prochain, entre Paris – Orly et Valence.
Ce nouvel avion contribue à répondre aux objectifs environnementaux du Groupe Air France KLM, en permettant une réduction de 15% des émissions de CO2 et une réduction de bruit au décollage et à l’atterrissage jusqu’à 50%. D’ici à la fin de l’année 2024, la flotte de Transavia France comptera treize A320neo.
« C’est avec une grande fierté que nous accueillons dans notre flotte le second A320neo, un outil qui permet notre développement en renforçant notre performance économique et environnementale. L’Airbus A320neo nous permet aussi de proposer à nos clients une nouvelle cabine plus moderne et une expérience à bord toujours plus confortable », a déclaré Nicolas Hénin, Directeur Général Adjoint Commercial et Marketing de Transavia France.
Transavia remplacera tous les Boeing 737-700 et 737-800 par des Airbus A320neo et A321neo au cours des sept prochaines années. Les avions ont été commandés par la société mère Air France-KLM fin 2021.
Flotte a commenté :
12 avril 2024 - 12 h 10 min
Maintenant, il faudra se pencher sur la flotte moyen-courrier d’Air France, qui commence à être bien plus âgées, notamment les A321 (et surtout les ex Air Inter).
Tout en sachant que l’A220-500 à l’air d’être dans les oublis, et sans évoquer les péripéties du A220.
Julianho7 a commenté :
12 avril 2024 - 15 h 17 min
C’est clair vous avez bien résumé..
On devrait en savoir plus prochainement mais le modèle A220-500 est dans les cartons sans pour autant être vraiment un objectif puisnio est vraiment temps qu’Air France remplace les A320 et A321 avec des modèles Neo..ça devient urgent..
Bencello a commenté :
12 avril 2024 - 12 h 51 min
Il semblerait que :
– les A321neo soient pour Transavia Hollande (encombrement/plafonnement de Schiphol)
– les A320neo soient pour Transavia France (ouvertures de lignes, augmentation des fréquences, implantations sur de nouveaux aéroports).
Julianho7 a commenté :
12 avril 2024 - 15 h 13 min
Les premiers oui mais il y en aura également pour Transavia France tout comme il y aura des A320neo.
reponse a commenté :
12 avril 2024 - 15 h 26 min
A321neo pour KLM également. Il n’est pas dit que TO n’en bénéficie pas non plus dans un 2è temps.
Concernant AF, la flotte MC va, je suppose, baisser avec la sortie d’Orly. Les A321 et A320 restant seront remplacés par un autre module dans un deuxième temps (les A320 sont encore récents, et les A321 sont en grande partie à Orly donc plus d’utilité d’ici 2 ans).
Donc pas d’urgence
Greg6 a commenté :
12 avril 2024 - 19 h 59 min
Si on résume :
– Les a320 d’AF ont une moyenne d’âge de presque 15 ans, ils ne sont pas vieux certes. Mais pas vraiment récents non plus.
– Si les 4 a321-100 seront logiquement sortis dès le départ d’Orly, les 11 a321-200 ont déjà 18 ans, et AF en gardera probablement quelques uns pour CdG comme actuellement.
– Le groupe a encore 60 options sur la famille a320neo en plus des 100 déjà commandés.
– AF a reçu 32 a220 et en attend encore 28, et a 30 options.
Les questions en suspend :
– a220-500 ou a320neo pour AF ? La balle est dans le camp d’Airbus, pas du coté d’Af-Klm.
– Un éventuel intérêt pour des vols longs sur a321lr/xlr ? (ou pas)
– Quoi qu’il arrive le groupe va devoir lever ses options sur la famille 320neo, 100 exemplaires n’étant même pas suffisant pour les deux Transavia et Klm réunies. Timing ?
Jean-gerald a commenté :
13 avril 2024 - 12 h 01 min
Air france doit garder un minimum de 110 coques moyen courrier. Vu qu’AF quitte orly en 2026. Elle va raboter chez HOP (disparition des E170) en 2026.
Sébastien a commenté :
12 avril 2024 - 19 h 38 min
Bonjour, vu que les pilotes étaient formés sur B737, je me suis posé la question combien de temps durait leur formation afin de voler sur A320?
Merci d’avance.
Nom a commenté :
14 avril 2024 - 9 h 18 min
Disons 3 mois en moyenne…
David.T a commenté :
27 avril 2024 - 8 h 18 min
Ça sera rapide, car beaucoup de pilote sont des ex-pilotes AF qui ont été transféré chez Transavia… Donc ça ne sera pas un soucis.
Par contre ce que je ne comprends pas pourquoi AF ne commande pas d’a 321 LR et XLR, mais bon je suppose qu’il joue la sécurité face à l’incompétence du gouvernement français qui ubérise l’aérien et taxe énormément les compagnies françaises!
En tout cas Mr Ben Slith devrait arrêter de penser à l’A220-500 car il perd du temps à attendre leur éventuel sorties… Il ne faut pas oublier qu’Airbus fait face à une augmentation de commandes face au déboire de Boeing, et plus il attend plus il aura les avions tardivement.
Filoustyle a commenté :
13 avril 2024 - 8 h 49 min
L’A319 NEO massivement utilisé par les low-cost ne se vent plus je ne vois pas l’intérêts de faire développer et faire voler un A220-500 à vingt sièges prêt ?
Ces dernières leur préfèrent maintenant les A320 et A321. Airbus ne va pas développer un avion pour un marché de niche donc !…….
rv2Lyon a commenté :
13 avril 2024 - 11 h 22 min
Les marchés de niche, c’est une définition vague qui dépend de la taille du chien. Pour certains grands spécialistes Boeing sur ce site, la niche A321 XLR était condamnée d’avance car peu de commandes auraient lieu. Cette Niche à dépassé les 550 commandes avant que l’avion ne soit en service. Nous ne sommes pas sur une niche de Yorkshire apparemment.
La différence entre un A319 et un A220-500 serait le coût de revient et d’exploitation beaucoup plus bas mangeant même une grosse part des A320. Donc Airbus se canibaliserait lui-meme son marché, aucun intérêt.