American Airlines a annoncé qu’elle suspend temporairement ses liaisons aériennes vers Milan, la capitale économique du nord de l’Italie.
La compagnie américaine a déclaré qu’elle repoussait au 24 avril la reprise des vols en provenance et vers Milan, depuis les aéroports de New York-JFK et Miami, citant un “déclin de la demande“. Une seule liaison quotidienne d’American Airlines vers l’Italie est maintenue, entre Philadelphie et Rome.
Le département d’Etat américain a relevé hier le niveau d’alerte pour les voyages dans certaines régions d’Italie en raison de l’épidémie du coronavirus. D’autres compagnies américaines devraient suivre l’exemple d’American Airlines et arrêter des dessertes italiennes.
L’Italie est le pays d’Europe le plus touché par l’épidémie, avec plus de 1.128 cas confirmés et 29 décès à ce jour, 1er mars 2019. British Airways a annulé ses vols à destination et en provenance de l’Italie (54 rotations annulées entre le 14 mars et le 28 mars vers Milan, Bologne, Bergame, Venise et Turin). Air France, pour sa part, maintient son programme de vols habituel, mais elle propose à ses clients à destination de Milan, Venise ou Bologne de rembourser ou reporter leurs billets, sans frais supplémentaire.
Papy a commenté :
1 mars 2020 - 16 h 45 min
Donc les gens qui reviennent d’Italie sont priés de rester chez eux pendant
14 jours … Mais les Hôtesses et pilotes français qui y vont, peuvent continués à voler sans pb car “ils ne restent pas longtemps surplace” !!!
Donc visiblement la France considère qu’il y a un temps de latence pendant lequel on ne peut pas attraper le virus …
Mais... a commenté :
1 mars 2020 - 18 h 04 min
Non mais c’est comme le nuage nucléaire il va s’arrêter dès qu’il verra un passeport français bah voyons
JEAN-LUC a commenté :
2 mars 2020 - 16 h 58 min
Et sans une intervention de tiers on ne pourrait même pas en parler du nuage faut pas se leurrer comme de Fukishima qui était pire
Shôgun a commenté :
3 mars 2020 - 3 h 44 min
Fukushima était pire que quoi ?
Que Tchernobyl ?
Pardon de dire les choses, mais vous diffusez de fausses informations.
La diffusion de radioactivité par voie atmosphérique consécutive à l’explosion de la centrale de Tchernobyl est sans commune mesure avec toute autre catastrophe dans l’industrie nucléaire civile.
À Fukushima, la radioactivité répandue dans l’environnement l’a été essentiellement par écoulement d’eau contaminée autour du site. C’est extrêmement fâcheux, évidemment. Mais l’impact en matière de santé publique et de pollution environnementale est bien moindre qu’autour de Tchernobyl. C’est un fait.
E houyes a commenté :
1 mars 2020 - 19 h 15 min
A la gloire des Français, il faut rappeler que le nuage Tchernobilesque a été stoppé net aux frontières du pays vaillamment protégées par une administration puissante et souveraine.
Ce n’est pas un gros rhume Made in China qui rendra malade les hôtesses et pilotes! Ce malgré une déplorable hygiène qui fait rire jusque dans les pires bleds du Tiers-Monde.
ARNAUD a commenté :
1 mars 2020 - 23 h 24 min
Le genre de commentaire qui n’apporte rien et que l’on souhaiterait ne pas trouver sur ce forum.
Thierry A350 a commenté :
1 mars 2020 - 18 h 09 min
En tous cas concernant les pnts sachant qu’ils font le demi tour en 1h tout au plus ,il n ont qu a porter un masque le temps de faire le tour avion et pas beaucoup de risque d’être contaminé ….
C’est beaucoup plus embêtant pour les pncs qui sont en contact avec les paxs même bref porteur potentiels
Papy a commenté :
1 mars 2020 - 23 h 54 min
Ben non !
Déjà il y a des decouchers dans les hôtes et l’ air en cabine que je sache,
est pour une bonne partie en recirculation, donc tout le monde respire le meme air ( cf: syndrome aerotoxique par exemple )
A priori, la clim aurait été un facteur bien aggravant sur le bateau de croisière tanké au Japon …
Mais chut, faut pas être parano, juste ignorant, c’est plus facile à gérer
atc.gp a commenté :
2 mars 2020 - 2 h 01 min
La système de ventilation/aération/climatisation des navires de croisières n’est pas comparable à la gestion de l’air dans une cabine d’avion commercial. Les certifications (FAA et AESA) actuelles imposent un minimum de 4,7 litres (0,55 lb) d’air frais par passager par seconde. Et cela ne concerne pas la part de l’air recyclé qui peut être mélangé à l’air frais.