Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Voyage d’affaires : faut-il fiscaliser les miles en 2018 ?
Publié le 24 novembre 2017 à 12h00 par Ricardo Moraes
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Mikeworld a commenté :
24 novembre 2017 - 12 h 37 min
Ça va se faire.
Tremble Air France.
Asian Traveller a commenté :
24 novembre 2017 - 13 h 01 min
Y’a pas que AF qui peut trembler, ce sont tous ceux qui en beneficient !
Malick a commenté :
24 novembre 2017 - 13 h 15 min
La meilleure façon de retenir ou d’attirer les clients, c’est d’agir sur les prix et le service (ponctualité, confort, traitement des PAX, sécurité). Sachant que Air France n’a plus le monopole de tous ces atouts, la donne va forcément changer.
infoclubic a commenté :
24 novembre 2017 - 13 h 30 min
Pour que cette mesure soit efficace et que les miles reviennent à l’entreprise, il faut prévoir une mention obligatoire sur la facture que le voyage est pour motif professionnel. De ce fait, ceux qui souhaiteront cumuler des miles à titre personnel devront choisir le motif personnel.
Ainsi, sur les relevés de facturation de l’entreprise, il sera plus simple de vérifier ceux qui ont indiqué “motif personnel” pour leurs billets, mais où la société a payé pour eux.
Pet a commenté :
24 novembre 2017 - 13 h 32 min
Le fantasme de la bamboula aux frais de l’entreprise et de l’état a encore frappé.
Ceux qui poussent à la consommation sont les agents de voyage, comme indiqué ds l’article.
Les sociétés qui ont des politiques strictes concernant les déplacements exigent le choix du moins disant.
Et comme tout le reste, le px d’un billet d’avion se négocie, hotel, véhicules etc..
AF n’a pas à trembler( certains ont des visions bizarres) si les miles sont fiscalisés.
Comment fait AF en Allemagne ??
Il existe une pagaille de contrats permettant de fidéliser un client/entreprise.
Normaliser un anachronisme en fiscalisant est sain.
Shôgun a commenté :
24 novembre 2017 - 13 h 55 min
L’article et les commentateurs sans cerveau se focalisent sur Air France alors que le sujet concerne aussi bien toutes les compagnies aériennes européennes membres d’une alliance globale. Autrement dit toutes les compagnies non low-cost.
Nuvaroli a commenté :
24 novembre 2017 - 14 h 36 min
Encore de la démagogie fiscale, bien aider par le lobby des agences de voyages!
De plus tout le monde ne se déplacent pas en First/ business voir en premium…
12h en éco mérite bien une petite compensation.
Dans ma société c’est la politique du moins disant et c’est rarement Air France surtout en BUsiness…
VIVELACONCURRENCE a commenté :
24 novembre 2017 - 15 h 05 min
Les salariés ont de moins en moins le choix de la compagnie en raison des politiques de voyage .
Le miles accumulés peuvent être vu comme en avantage par rapport aux salariés ne voyageant pas. En même temps, est ce que ces mêmes voyageurs demandent des heures supplémentaires quand ils se lèvent à 5h pour prendre l’avion de 7h30 ou quand ils arrivent à 22h chez eux ? ….
B744 a commenté :
24 novembre 2017 - 16 h 52 min
Marrant, ça sort au moment où AF veut imposer une taxe GDS sur les billets vendus en agence…petite vengeance mesquine ?
nooland a commenté :
24 novembre 2017 - 17 h 32 min
Je dirais même , grosse vengeance très mesquine
Enrique a commenté :
24 novembre 2017 - 18 h 03 min
Ce même intervenant, devant lui bénéficier de séjour de découverte avec femme et enfant, des offres proposées par ses fournisseurs.
Les miles sont peut être un avantage en nature, mais c’est aussi une contre partie, pour le salarié en déplacement, qui va dormir loin de sa famille, avoir des amplitudes de travail plus élevé, pour optimiser son déplacement.
De plus, tous les grands groupes ont des politiques de voyages, qui impose soit la ou les compagnies référencés sur tel ou tel destination. Il en va de même pour les hotels, les locations de voiture, les forfaits téléphoniques etc, les entreprises négocient beaucoup de tarif. Et le prix payé pour tel ou tel voyage, ne représente pas le coût réél pour l’entreprise. Car il faut souvent ajouter les coûts du distributeur (AMEX, Egencia…) et aussi la remise arrière reversé par les différents fournisseurs, montant défini par les acheteurs de ce type de prestation.
Fera a commenté :
24 novembre 2017 - 17 h 33 min
Ridicule! La majorité des cadres d’après les conventions collectives devraient voyager en business (à partir d’un certain nombre d’heure de vol), mais les entreprises vous paie généreusement la classe éco…
Dans ce cas là on trouve ça normal.
Normal également que les cadres à l’export ne rattrapent ni samedi, ni dimanche, ni nuits blanches passées dans les avions (en classe eco) au détriment encore des conventions collectives…
Alors arrêtez de nous faire ch…. avec la taxation des miles… très maigre compensation des centaines d’heures sup… j
Albatros75 a commenté :
24 novembre 2017 - 17 h 52 min
Il semble plus que normal que les points primes reviennent à l’employeur qui payent les billets à leurs salariés. Mais là ou le bas blesse, c’est que ceux-ci voient d’un mauvais œil le fait de ne plus pouvoir disposer de ces primes à tire personnel, surement les mêmes qui ont fustigé l’attribution des GP aux personnels des cies et qui ont applaudi lorsque les tarifs de ces billets ont été indexés selon l’URSSAF. Vengeance, vengeance…