Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
IATA voudrait imposer aux voyagistes un règlement financier plus restrictif
Publié le 3 juillet 2017 à 10h00 par Olivia
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F. Libery a commenté :
3 juillet 2017 - 10 h 21 min
Article tres oriente et qui ne delivre pas une vision objective de la situation. Sans etre un franc partisan de IATA dans l’histoire, je me suis un peu renseigne avant de me faire une idee:
1. Les Agents de voyages utilisent effectivement des cartes virtuelles au nom de leur agence. Cette pratique en vigueur depuis longtemps, est deja en contradiction avec les regles IATA (Resolution #890), qui interdit aux agents d’utiliser les cartes bancaires au nom de leur agence.
Meme si en soi, les agents pourraient avoir le droit d’utiliser des cartes agences pour payer (cela n’est pas le debat), le debit sur ces cartes est relativement rapide et de fait, s’apparente plus a un debit sous 48h plutot qu’un debit sous 7 jours ou 14 jours
2. La limite de credit me parait une bonne idee pour lutter contre la plethore d’agents qui se montent avec une croissance exponentielle, et soudainement partent en faillite sans payer les fournisseurs… C’est un mecanisme de fraude et je pense qu’il est bien de proteger la croissance des agents dans un seuil qui peut etre soutenu.
3. Le fait que les agents aient eu de 28, a 14 et potentiellement 7 jours pour regler les compagnies ne me parait pas etonnant. Une fois que le billet est vendu, l’agent a bloque l’inventaire dans la compagnie et a collecte le reglement du passager. Dans ce cas, l’agent devrait regler la part due a la compagnie pour sa part sans delai, plutot que de profiter des jours de tresorerie.
Cet article est beaucoup trop oriente dans un seul sens pour donner une vision objective de la situation. Encore une fois, je ne suis pas partisan dans un sens ou l’autre, mais je regarde le fond derriere les mesures annoncees ici avant de me faire une idee.
Vieux Charles a commenté :
3 juillet 2017 - 12 h 37 min
A quand une caisse européenne de garantie des compagnies aériennes? Il y a encore des passagers qui attendent leur indemnisation comme suite des banqueroutes de la Malev et de la Syphax. L argent des compagnies qui se posent en Europe devrait être adossé à une caution bancaire.
Jacques Amstein a commenté :
4 juillet 2017 - 8 h 58 min
Le crédit fournisseur ne doit pas être une règle pour financer le fond de commerce du client-intermédiaire. Dès le moment que le client final à payer ses prestations commandées, la contre valeur est due immédiatement jusqu’au bout de la chaîne. Si un fournisseur souhaite aider une entreprise prestataire, c’est de son bon vouloir, mais dans aucun cas une obligation. Dans les affaires, de quel droit peut-on obliger quelqu’un d’aider un autre !
De toute façon, le crédit est un produit qui n’appartient qu’aux institutions financières, comme le médicament au pharmaciens. Mon opinion personnel, le crédit est un poison..
Penky a commenté :
4 juillet 2017 - 10 h 42 min
A vrai dire IATA (et le BSP) était à l’origine une idée merveilleuse puisqu’elle permettait de payer à un seul fournisseur tous les billets d’avion émis par une agence au lieu d’un paiement par compagnie. Toutefois, ce même fournisseur payait lui les compagnies sur la base du “coupon volé” donc en Moyenne 6 mois après la date de paiement de l’agence….Mais c’était il y a bien longtemps … Maintenant il y a Internet, et les compagnies qui mettent des frais quand on ne réserve pas directement par leur système, histoire d’éviter les frais de distribution annexes et d’avoir immédiatement les sous. Pour le client final ca change quoi ? cela va être plus long pour trouver le meilleur tarif, et la recherche du meilleur rapport qualité/prix sera un vrai travail.