Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Le 3 août 1953 dans le ciel : Un Constellation d’Air France privé de deux moteurs amerrit d’urgence
Publié le 3 août 2014 à 00h03 par Stéphanie Meyniel
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chiefpilot a commenté :
3 août 2014 - 8 h 26 min
L’appareil était considéré comme le meilleur” bimoteur” a l’époque ,car il était exceptionnel qu’il effectue une traversée sans un ou deux moteurs en panne…
Dakota a commenté :
3 août 2014 - 17 h 14 min
On peut relire, à ce sujet, le récit de l’exploit de Charles Lechevalier et de son équipage ( 2 copilotes, 2 mécaniciens, 2 radios et un navigateur : à l’époque , il y avait du monde dans le cockpit…)dans son livre 95 fois le tour du monde (ce doit être le dernier chapitre) : vol AF du 18 au 19 février 1947
Yffic a commenté :
13 février 2018 - 13 h 25 min
L’avion vient d’être retrouvé par la marine turque
Nom a commenté :
14 février 2018 - 8 h 51 min
https://www.facebook.com/trthaber/videos/1864009736950702/?hc_ref=ARQD4d6-Bq6jI4e7ei7o5xzJS6ZNCdRoiXWcuhq45E8N8Frq7JnHZTzdzwvKwAOXVBw&pnref=story
Coup au coeur... a commenté :
14 février 2018 - 9 h 51 min
Merci pour ce lien.
Je n’ai naturellement rien compris au commentaire…ce qui ne m’a pas empêché de recevoir un vrai coup au coeur à la vue de cet avion gisant quasi entier par le fond…
Faut il envisager un renflouement de cet appareil pour ensuite être exposé quelque part? Il n’y a plus beaucoup de Constellation visibles…
Musée de l’Air, Musée Air France, Service du Patrimoine….etc…
Creation d’une” Association pour le Relevage du F-BAZS” …
Duphiton a commenté :
26 mars 2018 - 15 h 11 min
Bonjour
Fabuleux. Le site d’épave était relativement bien localisé de par les relevés des navigateurs du “ZS”. De plus, deux gardiens du phare du cap non loin qui asistèrenet à l’amerissage, se rendirent immédiatement sur les lieux avec une barque à rames pour porter secours.
Mais si l’épave flotta asssez de temps pour qu’équipage et passagers puissent s’échapper, elle se brisa soudainement en deux tronçons (par cause du clapot) et coula rapidement. A la vue des images on se rend compte que malgré tout l’épave à souffert. La remonter ne servirait à rien, d’autant que si celà ne se voit pas trop, la Méditérannée est bien plus salée en Turquie qu’elle ne l’est chez nous, faisant, en fait, que ses stuctures ont sans doute depuis été bien plus fragilisées par la corrosion galvanique (effet d’électrolyse). Le fait que les concrétions marines ne soient pas non plus si importantes est lié à la profondeur où se situe l’épave, là où la colonne d’eau empêche lumière d’atteindre les fonds. Quoi qu’il en soit, Chapeau Bas aux pilotes !