Trois minutes après le décollage du vol ET 302 d’Ethiopian Airlines, l’équipage avait demandé un retour à l”aéroport d’Addis Abeba alors que l’avion accélérait à une vitesse anormale, selon le journal New York Times qui rapporte les derniers échanges avec le contrôle aérien avant le crash.
“Break, break, request back to home” [“Break, break, demande retour à la maison“], avait lancé le commandant Yared Getachew aux contrôleurs aériens alors qu’il tentait d’éviter deux autres vols (ET 613 et Et 629) approchant l’aéroport, selon des déclarations du New York Times, citant une source ayant eu accès aux communications entre l’équipage et les contrôleurs d’Addis Abeba. Puis il avait ajouté : “Request vector for landing” [“Demande guidage pour atterrir“].
“Break, break” est une phraséologie utilisée par les pilotes pour donner priorité à un message en cas d’urgence. Toujours selon la source citée par le New York Times, les contrôleurs aériens observaient alors que la trajectoire de l’avion à une vitesse instable, oscillant entre des montées et des descentes de plusieurs centaines de pieds. Puis le Boeing 737 MAX-8 disparaissait des radars avec 157 personnes à bord, dimanche 10 mars 2019.
Les deux boîtes noires du Boeing sont arrivées hier à Paris, au Bureau d’enquêtes de d’analyses (BEA), pour être analysées.
Abbes a commenté :
16 mars 2019 - 9 h 35 min
Quand un journal d’aviation précise que l’expression “break break” est utilisée par les pilotes en cas d’urgence, il y a de quoi se poser des questions sur le travail de la presse…
OptY a commenté :
16 mars 2019 - 11 h 01 min
C’est pratique pour les novices comme moi?
Max a commenté :
16 mars 2019 - 11 h 55 min
C est certain , très inquiétant cette presse !!
pacha a commenté :
16 mars 2019 - 10 h 28 min
les boites sont arrivée a Paris hier , et déja des infos dans les journaux!!!!!!!, ils vont bientôt connaitre les raisons du crash avant que les boites noire soit analysées.
Shôgun a commenté :
16 mars 2019 - 10 h 50 min
@PACHA
Si vous aviez lu correctement l’article avant de pondre un commentaire, vous auriez compris que les informations ci-dessus ne proviennent nullement des enregistreurs de vol embarqués mais des enregistrements du contrôle aérien.
Michel a commenté :
16 mars 2019 - 10 h 40 min
“« Break, break » est une expression utilisée par les pilotes pour donner priorité à un message en cas d’urgence. ”
Air journal est au même niveau que Le Figaro, Libération, Le Parisien et tout autre journal. Aucune connaissance dans l’aviation (et aucune recherche sur e sujet réalisée) de la part de ceux qui rédigent des articles… relatif à l’aéronautique.
Max a commenté :
16 mars 2019 - 12 h 12 min
Break break est effectivement un usage .cockipt creww/ ATC .pour traiter une priorité soudaine. Un équipage qui déclare une situation d urgence = MAYDAY CALL 3 TIMES.
CecildeMille a commenté :
16 mars 2019 - 12 h 35 min
Air journal a raison de préciser la signification de “break, break”. La mise en ligne de cette publication amène des béotiens comme moi qui n’y connaissent que pouic à lire ces articles. Et sans l’explication je n’aurais pas compris grand chose. L’ère de la diffusion par les nouvelles technologies bouleverse la donne. Chacun finira bien par le comprendre un jour. Plus ou moins vite selon le nombre de connexions des neurones.
andrei a commenté :
16 mars 2019 - 13 h 28 min
Toujours les mêmes commentaires, les mêmes donneurs de leçon, quel que soit le sujet. Ça vous donne le sentiment d’exister ? Vous ne pouvez pas juste vous détendre ? Air journal décide de préciser que « Break, break » est une phraséologie utilisée par les pilotes. Et alors ? C’est quoi le problème ? Ça heurte votre égo de “spécialistes” ? Ridicule.
Backdoor a commenté :
16 mars 2019 - 14 h 00 min
@Andrei
Tout à fait d’accord
Max a commenté :
16 mars 2019 - 14 h 10 min
Ce n est pas une question d égo, mais de standard utilisé . Un message d urgence air crew avec le contrôle . Ce message est associé à la phraséologie MAYDAY 3 fois . A SUIVRE. Espérons dans les meilleurs délais.